Une protéine qui tue les bactéries, voici la solution que l’Université de Tel Aviv a trouvé grâce à ses chercheurs. En effet, ils ont réussi à isoler une protéine connue sous le nom de Gene 0.4 qui élimine les bactéries.
Cette découverte est une première étape vers l’élaboration d’un substitut des antibiotiques, la protéine empêche les bactéries de se diviser, entraînant leur destruction et par cela, lutte contre les infections.
L’équipe est composée de Dr. Udi Qimron, Ruth Kiro et Shahar Molshanski-Mor, et le Dr Ido Yosef, qui travaillent tous au sein du Département de la Clinique Micro-biologique et immunologique, sans oublier l’ Université de Tel-Aviv. Deux scientifiques américains, le Dr Sara L. Milam et le professeur Harold P. Erickson, font partie de cette trouvaille.
Au cours des dernières décennies, la résistance des bactéries aux antibiotiques a augmenté de façon spectaculaire, ce qui a laissé la médecine moderne parfois impuissante à combattre les infections et les maladies bactériennes. L’Organisation mondiale de la Santé a défini ce problème comme l’une des trois plus grandes menaces pour la santé publique.
Dès 1947, peu de temps après l’utilisation d’antibiotiques , la résistance des bactéries aux antibiotiques a été découverte. Depuis, le phénomène s’est aggravé en grande partie en raison de la prolongation de la durée de vie moyenne et l’érosion de notre système immunitaire.
Les bactériophages, découverts au début du siècle précédent, avait depuis longtemps été considérés comme un allié potentiel dans la guerre contre l’infection dans le corps humain et ont été largement utilisés en Europe de l’Est. Cependant, ils ont été abandonnés par la médecine occidentale.
Contrairement aux virus, les bactériophages (également appelé simplement phages) ne peuvent pas nuire aux êtres humains. Elles se fixent à une bactérie, et se reproduisent rapidement. Pas moins de 5000 phages peuvent infester une seule cellule bactérienne. La cellule bactérienne ne cesse de s’allonger jusqu’à ce qu’elle soit finalement détruite. Les bactériophages sont la forme de vie la plus commune sur la terre, surpassant les bactéries présentes dans la nature par 10 à 1.
Les chercheurs sont en train d’enregistrer un brevet mondial pour le Gene 0,4. «Potentiellement, cette protéine pourrait être l’antibiotique idéal», note Qimron.
Selon le Dr Rotem Sorek, chercheur à l’Institut Weizmann du Département de Génétique Moléculaire de la science, il a affirmé que c’est la première grande percée dans la guerre entre les bactériophages et les bactéries. « Bien qu’il reste encore un long chemin à parcourir avant que cette découverte ne puisse servir de base pour un traitement antibiotique dans l’avenir « .
Je suis bien d’accord avec vous Monsieur Montwern.
Savent ils ces imbéciles ignorants tout ce qu’ISRAEL a pu inventer concernant la médecine ?
Alors qu’on on doit boycotter ce merveilleux pays on le fait à fond.