La Commission parlementaire sur le travail, la santé et le bien-être social, présidé par Eli Elalouf (« kulanou ») a été approuvée, selon laquelle les femmes pauvres qui ont besoin de don d’ovules paieront à la femme donneuse 7000 shekels au lieu de 10 000 NIS, comme précédemment accepté.
Dans ce cas, l’Etat au sein du ministère de la Santé augmentera de 13 000 NIS au lieu de 10 000 NIS aux intérêts des femmes donatrices pour ne pas qu’elles soient lésées. Les nouvelles règles agiront rétroactivement à compter du 1er janvier 2018.
Ces dispositions seront en vigueur pour la première phase dans un délai de deux ans, de sorte que les conséquences de cette décision et la nécessité d’étendre sa validité puissent être évaluées. Cela est dû au fait que le ministère de la Santé ne dispose pas de données sur le nombre de receveurs avec un faible revenu.
« Je suis reconnaissant envers le Ministère de la Santé d’avoir accepté ma demande de nous aider à résoudre ce problème important et sensible », a déclaré le membre de la Knesset, Eli Alalouf, qui dirige la commission. Il a également ajouté qu’il continuerait à demander l’annulation des frais d’une ambulance pour les bénéficiaires de l’indemnité de subsistance de l’Institut national d’assurance.