🧱 Infrastructure intérieure : alerte maximale, circulation réduite

Le commandement du front intérieur a publié une série de directives strictes :

• Pas d’écoles,
• Tous les événements annulés,
• Travail autorisé uniquement dans les secteurs essentiels,
• Accès aux parcs et espaces publics interdit.

Les citoyens sont appelés à rester à proximité d’abris sécurisés. Le général de division Rafi Milo a déclaré :

« Dès la réception d’une alerte, vous devez immédiatement pénétrer dans les zones protégées. Ne sous-estimez pas la menace. »

Par ailleurs, les déplacements routiers non essentiels sont à éviter, pour permettre aux forces de sécurité de se déployer librement.

⚠️ Possibles assassinats ciblés : état-major iranien visé

Des sources de sécurité israéliennes relayées par Ynet, Maariv et Channel 7 indiquent que le chef d’état-major iranien aurait été tué lors des premières frappes. Plusieurs rapports non confirmés évoquent également l’élimination de scientifiques nucléaires de haut rang. Une source a déclaré :

« Les probabilités que l’état-major général iranien ait été éliminé dès le premier coup augmentent considérablement. »

Ces informations restent à confirmer officiellement par l’Iran, mais témoignent de l’audace et de la précision des frappes israéliennes.

📉 Conséquences économiques : pétrole et devises en hausse

Les marchés financiers ont réagi immédiatement à l’opération :

• Le baril de pétrole a bondi de 7 %,
• Le dollar et l’euro ont vu leur taux de change grimper face au shekel,
• Les places boursières en Asie ont ouvert en baisse, redoutant une escalade militaire prolongée.

🇺🇸 Les États-Unis affirment ne pas être impliqués

Les États-Unis ont clairement précisé ne pas avoir pris part à l’opération israélienne. Le président américain a convoqué une réunion d’urgence à la Maison-Blanche, tandis que le sénateur Marco Rubio a déclaré :

« Nous n’avons pas été impliqués dans cette attaque, mais nous suivons la situation de très près. »

Des diplomates américains ont été évacués de Bagdad, et plusieurs bases américaines dans la région sont passées en état d’alerte renforcé.

🎙️ Netanyahou : « L’Iran a érigé un monstre terroriste »

Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a pris la parole dans une allocution solennelle à l’aube. Il a justifié l’opération en affirmant :

« L’Iran a érigé un monstre terroriste régional et international contre nous. Il a encore la capacité de nous nuire. L’opération se poursuivra jusqu’à ce que nous repoussions cette menace. Israël est à un tournant historique. »

Il a également salué le courage des soldats et appelé la population à faire preuve de résilience et de responsabilité collective.

🕊️ Efforts diplomatiques en parallèle

Tandis que les bombardements se poursuivent, le ministre israélien Gideon Sa’ar mène des discussions diplomatiques d’urgence avec ses homologues en Europe, aux États-Unis et en Asie. L’objectif est d’éviter une guerre régionale tout en maintenant le soutien international au droit d’Israël à se défendre.

🚉 Les chemins de fer maintiennent leur fonctionnement normal

Malgré l’état d’alerte, le réseau ferroviaire israélien continue de fonctionner normalement, selon une déclaration officielle à 04h19. Les autorités se disent prêtes à suspendre le service si la situation sécuritaire se dégrade.

🧾 Conclusion : Vers une escalade ou un signal de dissuasion ?

Alors que la région retient son souffle, les prochaines heures seront décisives. L’Iran doit encore répondre officiellement à l’attaque, et le risque d’une riposte balistique, voire d’une guerre ouverte avec les proxys de Téhéran comme le Hezbollah, demeure élevé.

Israël, de son côté, considère l’opération comme un acte de défense préventive nécessaire face à une menace nucléaire croissante. L’issue de cette confrontation dépendra désormais des réactions de l’Iran, mais aussi de la diplomatie internationale.

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Crise au Moyen-Orient : Israël mobilise, frappe l’Iran, et le monde retient son souffle

13 juin 2025, Tel-Aviv – Alors que les tensions entre Israël et l’Iran atteignent un niveau critique, la nuit du 12 au 13 juin a été marquée par une série d’événements militaires, stratégiques et diplomatiques d’une ampleur inédite. Dans ce qui semble être l’un des moments les plus décisifs du conflit latent entre les deux pays, Israël a lancé une vaste opération militaire préventive contre plusieurs cibles iraniennes, provoquant une onde de choc régionale et mondiale.

L’armée israélienne mobilise des milliers de réservistes dans le cadre de l’ordre 8

Peu après le déclenchement de l’offensive, les Forces de défense israéliennes (FDI) ont publié un « ordre 8 », mobilisant en urgence plusieurs milliers de réservistes dans l’ensemble du pays. Cette mesure d’urgence, rarement employée, permet d’appeler immédiatement des soldats de réserve à rejoindre leur unité sans passer par les circuits habituels.

Le porte-parole des FDI a précisé que cette mobilisation vise à « renforcer les défenses intérieures, protéger les populations civiles, et préparer une réponse rapide en cas d’attaque multiple depuis plusieurs fronts ».

Explosions dans plusieurs villes d’Iran, signalements d’attaques à Natanz ; décès signalés

Selon le quotidien Maariv, de puissantes explosions ont secoué plusieurs villes iraniennes, notamment dans les régions de Téhéran, Ispahan et Natanz, où se trouvent des installations nucléaires sensibles. Des sources locales iraniennes font état de plusieurs morts et de « dégâts significatifs » sur des sites militaires et de recherche.

Des analystes militaires estiment que ces frappes visaient à perturber l’enrichissement d’uranium et à désorganiser les chaînes de commandement des Gardiens de la Révolution.

Commandant du Front intérieur : Dès réception d’une alerte, il faut pénétrer dans les zones protégées

Le général Rafi Milo, commandant du Front intérieur israélien, a émis une déclaration solennelle à la télévision à 4h09 :

« Dès qu’une alerte est entendue, chaque citoyen doit immédiatement entrer dans une zone protégée ou un abri sécurisé. Il n’y a pas de place pour l’hésitation. »

La mesure est d’autant plus critique que le pays s’attend à une riposte iranienne sous forme de missiles balistiques ou de drones lancés depuis l’Iran ou via ses proxys au Liban, en Syrie ou à Gaza.

L’aéroport Ben Gourion évacué, espace aérien fermé : tous les vols suspendus

Dans un geste sans précédent depuis la guerre du Golfe, l’aéroport international Ben Gourion a été évacué en urgence. L’autorité de l’aviation civile israélienne a fermé tout l’espace aérien, interrompant tous les vols à l’arrivée et au départ d’Israël.

Les compagnies aériennes ont redirigé leurs avions vers Chypre, la Grèce et d’autres destinations sûres. L’aéroport fonctionne désormais en mode restreint, uniquement pour les vols militaires ou d’urgence.

Les États-Unis précisent : « Ils ne sont pas impliqués dans l’attaque israélienne contre l’Iran »

Face aux spéculations mondiales, le département d’État américain a formellement démenti toute participation dans l’opération israélienne contre l’Iran. Un communiqué publié peu après les premières frappes précise :

« Les États-Unis n’ont pas été impliqués dans la planification ni dans l’exécution de cette attaque. Toutefois, nous réaffirmons le droit d’Israël à se défendre contre toute menace existentielle. »

Le général du commandement du front intérieur met en garde : les déplacements routiers devraient être réduits

En parallèle, les autorités israéliennes ont lancé un appel urgent à la population pour limiter les déplacements routiers, afin de faciliter les opérations militaires et permettre une meilleure réaction aux alertes en cas de tirs de missiles.

Les routes du nord du pays, proches de la frontière libanaise, sont particulièrement surveillées, en raison de la possibilité d’une ouverture de front par le Hezbollah.

Deux vols Arkia détournés vers Larnaca ; El Al suspend ses opérations

La compagnie nationale israélienne El Al a suspendu tous ses vols jusqu’à nouvel ordre. Deux avions de la compagnie Arkia ont été déroutés vers Larnaca, à Chypre, immédiatement après l’annonce de la fermeture de l’espace aérien. Les compagnies étrangères annulent ou redirigent leurs vols, tandis que l’incertitude règne sur le rétablissement des liaisons commerciales.

Après l’attaque contre l’Iran : le pétrole bondit de 7 %

Les conséquences économiques de cette opération se font déjà sentir : le prix du baril de brut a bondi de 7 % en quelques heures sur les marchés asiatiques. Les analystes anticipent une volatilité accrue dans les prochains jours, surtout si l’Iran ferme le détroit d’Ormuz ou attaque des infrastructures pétrolières saoudiennes ou émiraties.

Divers reportages sur l’assassinat du chef d’état-major iranien

Plusieurs médias israéliens, dont Channel 7, rapportent des rumeurs persistantes selon lesquelles le chef d’état-major des forces iraniennes aurait été tué lors de l’une des frappes sur une base militaire proche de Natanz. Ces informations n’ont pas encore été confirmées officiellement par Téhéran.

Conclusion : Un tournant majeur au Moyen-Orient

Cette nuit pourrait marquer un tournant historique dans les relations entre Israël et l’Iran. En décidant d’agir de manière unilatérale face à ce qu’elle considère comme une menace existentielle, Israël a franchi une étape décisive dans sa doctrine de défense.

La riposte iranienne est désormais redoutée, mais le message envoyé est clair : Israël ne tolérera pas un Iran nucléaire. Le monde, suspendu aux décisions des prochaines heures, espère que l’escalade pourra être contenue sans glisser vers un conflit généralisé.