La récolte de cette année dans le sud d’Israël va au mieux être un défi, et au pire… une catastrophe.

Des cerfs-volants incendiaires, des ballons IED (engins explosifs improvisés) et des ballons incendiaires traversent la frontière avec l’assistance des terroristes de Gaza, qui ont brûlé plus de 3000 hectares de forêts, de parcs et de terres agricoles.

Les terroristes du Hamas ont déclenché plus de 1000 incendies depuis le début de cette nouvelle campagne de terreur, qui a débuté en mars 2018.

Les champs agricoles israéliens qui regorgeaient de blé, de mangues, d’avocats et d’autres produits qui auraient pu nourrir le pays, se retrouvent en cendres. Serres, poulaillers, équipements industriels et réservoirs d’eau ont également été détruits lors des incendies provoqués par le Hamas.

Bien plus de 2 millions de dollars de dommages ont été causés, sans compter les déchirantes pertes en termes de vie animale et les torts incalculables infligés à l’écologie de la région.

 

5 Commentaires

  1. Peut etre que l`Armee est en vacance et les arabes en profitent et continus a metre le feux dans le pays sans etre inquietes, jusqu`a quand ?

  2. C’est vraiment triste pour les réserves naturelles, il faut tellement de temps pour qu’un arbre soit adulte, le même que celui d’un être humain pour devenir un homme.
    Les cultures de blé, tomate, concombre… peuvent heureusement être rapidement remplacées, et c’est un moindre mal.
    Mais même si nos agriculteurs seront indemnisés par le gouvernement, ça n’enlève en rien la tristesse de voir leur culture dévastée. L’argent ne compense pas tout, il ne compensera jamais l’amour qu’ils ont pour leur terre, la sueur qu’ils ont mis dans leur travail et la fierté de regarder leur exploitation se développer.

  3. la terreur change de camp….c’est bien !
    Priez Dieu que jamais les palestiniens n’aient droit au même armement que vous…la raclée serait immédiate !!!