La police a installé un site de protestation à côté du terminal un, moins fréquenté, mais les organisateurs n’étaient pas d’accord sur le lieu et la limite de 5 000 personnes.

En effet, une manifestation dans un aéroport n’a de sens que et précisément lorsqu’elle apporte des désagréments aux passagers. C’est ainsi, par exemple, que les travailleurs des aéroports du monde entier se mettent en grève lorsqu’ils exigent des salaires plus élevés ou de meilleures conditions de travail. L’aéroport ferme, des milliers de passagers sont bloqués sur le chemin des vacances ou en voyage d’affaires.

Lundi matin, le commandant du district central de la police, Avi Beaton, a marché autour de l’aéroport Ben Gourion avec les organisateurs de la manifestation. En fin de compte, Beaton a approuvé un site pour une manifestation près du terminal 3, « d’une manière qui empêcherait les infractions au code de la route ».

Les manifestants contre la réforme ont commencé à se rassembler à midi dans le terminal 3, quelques heures avant le grand rassemblement, prévu à 17h30. La police a commencé à les chasser de force, certains ont réussi à entrer dans le terminal avec des affiches.

Pour le moment, l’action principale n’a pas encore commencé, mais des affrontements entre manifestants et forces de l’ordre ont lieu à Ben Gourion.

De nombreux manifestants sont allongés sur le sol et refusent de quitter l’aéroport.

Pour le moment, une personne a été arrêtée, un embouteillage s’est accumulé à la sortie de l’aéroport.

La manifestation commence à Tel-Aviv près du Musée d’Israël.

Une manifestation plus tôt lundi a également eu lieu à l’aéroport de Haïfa.