Le service de sécurité français DGSI (Direction générale de la sécurité intérieure) a arrêté le 6 novembre six militants du mouvement d’extrême droite soupçonnés d’avoir planifié un attentat terroriste contre le président Emmannuel Macron.
L’agence DGSI a reçu un signal indiquant son intention d’attaquer le président, à ce stade «d’intentions vagues ».
Une affaire pénale a été ouverte contre les détenus soupçonnés de « complot criminel avec des intentions terroristes ».
Le journal Le Figaro rapporte que les détentions ont eu lieu dans trois régions différentes du pays : au sud dans le département de l’Isère (Grenoble), au nord-ouest en Ille-Vilen (Bretagne) et au nord-est dans le département de Moselle.
Hier, lors de la cérémonie d’inauguration du nouveau directeur du service de la sécurité intérieure, Nicolas Lerner, le ministre de l’Intérieur, Christoph Castaner, a déclaré qu’une attention particulière devait être accordée aux menaces que représentent les organisations extrémistes de droite et de gauche, très actives en France. «
Les mouvements d’extrême droite et d’extrême gauche considèrent Macron comme un protégé des milieux finan-ciers supranationaux intéressés à pour-suivre la politique de mondialisation.
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