Peu à peu, de plus en plus de nouveaux détails sur la mort dans une cellule de prison d’un officier de l’AMAN, soupçonné d’avoir failli révéler un grand secret militaire, deviennent clairs.
Jeudi, Tsahal a publié les premières données fragmentaires d’un examen toxicologique réalisé le 17 mai.
On rapporte que des « résidus » d’antidépresseurs et d’antipsychotiques ont été trouvés dans le sang du policier. Les noms des drogues ne sont pas signalés, on ne sait pas non plus quel était leur dosage et s’ils pouvaient causer la mort d’un officier à un tel dosage.
La cellule du policier était sous surveillance vidéo 24 heures sur 24 et les gardiens ont vu que le policier prenait des pilules, mais n’ont pas réagi. Selon Hadashot 12, du Ritalin et d’autres médicaments psychiatriques utilisés dans les attaques de panique ont été retrouvés dans les poches du défunt.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :