Deux soldats israéliens tués dans une embuscade à Gaza pendant que l’État hébreu continue de livrer de l’aide humanitaire à leurs assassins

Le contraste est d’une cruauté insoutenable : au moment même où deux jeunes soldats israéliens tombent au cœur de Gaza, tués par un engin explosif posé sur un véhicule blindé, le gouvernement israélien annonce, avec la bénédiction des Nations unies, l’ouverture quotidienne d’un couloir humanitaire de dix heures… pour permettre l’acheminement d’aide vers le Hamas.

🔻 Les héros tombés en territoire ennemi :

  • Sergent Amir Saad, 22 ans, originaire de Yanoch-Jat, officier technologie et maintenance au sein de la prestigieuse unité Golani.
  • Sergent Inon Nuriel Vana, 20 ans, de Kiryat Tivon, également affecté à la maintenance dans la même unité.

Les deux soldats sont morts au combat, dans le sud de la bande de Gaza, lorsque un terroriste a fixé un engin explosif à leur véhicule blindé de type Namer, les ciblant précisément parce qu’ils étaient en première ligne.

💥 Et pendant ce temps, le porte-parole de Tsahal annonçait froidement que, sur ordre du gouvernement, une « pause tactique humanitaire » aurait lieu chaque jour entre 10h00 et 20h00 dans les zones où Tsahal n’opère pas : Al-Mawasi, Deir al-Balah et la ville de Gaza. Un calendrier parfaitement organisé pour permettre aux convois de l’ONU et des ONG d’apporter nourriture, carburant et médicaments.

Les axes sécurisés sont même ouverts de 6h00 à 23h00, offrant une logistique quasi-militaire à ceux qui, de l’autre côté, continuent d’assassiner les nôtres.

👉 Oui, vous avez bien lu : des soldats tombent dans des secteurs “libérés” pendant que les camions humanitaires franchissent en file indienne la frontière.

Ce cynisme logistique a déclenché une colère explosive dans tout le pays. Le mouvement “Tzav 9” (Ordre 9), représentant des familles de soldats et d’otages, dénonce une capitulation morale sans précédent.

Reout Ben Haim, présidente du mouvement :

« Dix heures de trêve humanitaire ? Non. Dix heures de renaissance du Hamas. Dix heures d’abandon. Dix heures de honte. C’est une trahison de tout ce pourquoi nos enfants sont tombés. »

Yaël Sabrigo, nièce du soldat kidnappé Lior Rodayev, dont le corps est toujours détenu à Gaza, ajoute :

« Quelle ligne rouge faut-il franchir encore ? Deux soldats sont morts aujourd’hui, et au lieu de couper l’oxygène au Hamas, on leur envoie des tonnes de farine et du carburant pour continuer à nous tuer.« 

Et pendant que le Hamas se cache dans ses tunnels, reconstruit ses bastions, utilise les camions humanitaires comme couverture pour ses mouvements et ses transferts d’armes, les familles des otages assistent, impuissantes, à la démolition des rares leviers de pression qu’il restait à Israël.

📦 Depuis octobre, plus de 30 000 camions de « soutien humanitaire » sont entrés à Gaza. Plusieurs rapports crédibles, y compris ceux relayés sur https://infos-israel.news/category/alerte-info-24-24/, affirment que le Hamas saisit et détourne une partie significative de cette aide pour son usage militaire.

Tsahal, de son côté, continue avec héroïsme ses manœuvres dans les quartiers les plus piégés de Gaza, où les civils servent de boucliers humains, les immeubles de centres de commandement, et les écoles de plateformes de lancement de roquettes. L’ennemi s’adapte, mais nous, nous baissons la garde.

Ce dimanche noir, deux jeunes sont morts pour protéger l’État juif.
Et pendant ce temps, des camions d’aide nourrissent ceux qui les ont tués.

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