Une résidente de 35 ans de Tel Aviv, a été arrêtée par la police après avoir menacé de jeter sa petite fille de un mois après une dispute avec son mari.
Dés que le mari est rentré chez lui, il a découvert sa fille de un mois dans les bras de sa femme qui a menacé de la jeter. Les passants qui ont vu la scène sont montés jusqu’à chez elle pour essayer de la raisonner et la réconforter le temps que la police arrive.
L’incident a eu lieu hier après-midi quand la police a reçu un appel au sujet d’une menace d’une femme voulant jeter un enfant par la fenêtre. La police est arrivée sur les lieux, ils ont rencontré une femme qui était apparemment en état d’ébriété, criant à son mari, en lui disant que si il ne rentrait pas, elle se débarrasserai du bébé. Selon des témoins, ils ont réussi à la calmer.
La police est arrivée et la femme a été arrêtée, soupçonné d’avoir abusé de l’impuissance du mari et de menaces, et a été présenté aujourd’hui à une audience de renvoi à la Cour de Tel Aviv . La police a demandé d’envoyer la femme faire un examen psychiatrique.
Son avocat et procureur Yael Nissan, a déclaré: « C’est uns situation très triste. La suspect insiste sur le fait qu’elle ne cherchait pas à nuire au bébé en toute situation. Il y avait un combat avec son mari et elle était sous l’influence de l’alcool. Peut-être la dépression postnatale qui nécessite l’intervention d’une aide psychologique, plutôt que la direction vers la psychiatrie « .
La juge Ronit Katz Poznanski a prolongé l’arrestation de la femme pour la journée et l’a envoyée à un examen psychiatrique.
La dépression post natale peu être passagère et n’a rien à voir avec les quelques « véritables dépressions du post-partum », qui mettent en jeu la relation mère-enfant.
Dans ce cas, les symptômes, caractérisés par un sentiment de culpabilité intense ou par la conviction d’une incapacité à s’occuper du bébé, peuvent commencer après l’accouchement ou apparaître dans les 3 premiers mois après la naissance.
Ces dépressions du post-partum doivent impérativement être traitées par un psychiatre.