Une tragédie secoue une fois de plus les rangs de la monarchie britannique. Rosie Rousha, âgée de seulement 20 ans, cousine au second degré des princes William et Harry, a été retrouvée morte à son domicile à Norton, en Angleterre. Selon les premiers éléments de l’enquête, la jeune femme se serait suicidée, et la police a confirmé qu’aucun élément ne laissait soupçonner une intervention extérieure.
Rosie était la petite-fille du frère de la princesse Diana, ce qui fait d’elle une cousine par le sang des deux princes. Sa mère et sa sœur ont découvert son corps sans vie au domicile familial, au début de la semaine dernière. Elle s’apprêtait à partir en voyage avec des amis, ses affaires étaient déjà prêtes. Une perspective joyeuse, brutalement interrompue.
Les autorités ont indiqué qu’aucun facteur criminel n’était en cause, et que la cause du décès était probablement volontaire. Le choc est immense dans les cercles familiaux et chez les proches. La famille a annoncé que les funérailles seraient organisées en privé, et qu’un service commémoratif public aura lieu à une date ultérieure.
Dans l’avis de décès, on pouvait lire :
« Fille bien-aimée de Hugh et Pippa, sœur adorée d’Archie et Agatha, et petite-fille chérie de Derek et Rae Long. »
Ce décès tragique fait écho à un événement similaire survenu en février 2024, lorsque Thomas Kingston, mari de Lady Gabriella Kingston (autre cousine des princes William et Harry), et ancien compagnon de Pippa Middleton, s’était lui aussi donné la mort à l’âge de 45 ans. Deux suicides en un an au sein de la famille royale élargie – un signal alarmant que même les apparences les plus dorées n’épargnent pas les détresses silencieuses.
📌 Le silence derrière les sourires royaux
La mort de Rosie Rousha, comme celle de Thomas Kingston avant elle, met en lumière une réalité encore trop souvent taboue dans les hautes sphères : la souffrance mentale ne connaît ni statut, ni privilège. Dans une société où le poids des apparences est permanent, où la pression sociale est exacerbée par l’héritage familial et l’attention médiatique, les plus vulnérables peuvent sombrer dans le silence.
Cette tragédie s’ajoute à la longue liste de membres ou proches de la royauté dont la santé mentale a vacillé. Le prince Harry lui-même a publiquement parlé de ses troubles post-traumatiques liés à la perte de sa mère, et a dénoncé l’absence de soutien psychologique dans les années qui ont suivi. Lady Diana, déjà, avait brisé les codes en évoquant ses troubles alimentaires et ses épisodes dépressifs.
📎 Si vous ou vos proches êtes en détresse, n’hésitez pas à demander de l’aide :
🇮🇱 En Israël :
- ער »ן (ERAN) – aide psychologique 24/7, anonyme et gratuite :
📞 Ligne d’écoute : 1201
📱 WhatsApp : 052-8451201
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🇫🇷 En France :
- SOS Suicide – 📞 01 45 39 40 00
- SOS Amitié – 📞 09 72 39 40 50
- Numéro national de prévention du suicide : 📞 3114 (24h/24, gratuit)
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