Ehud Olmert dérape : il compare la « ville humanitaire » de Gaza à un « camp de concentration » et accuse Israël de nettoyage ethnique

Quand la gauche israélienne perd toute mesure, cela donne des déclarations explosives dignes des pires ennemis d’Israël. Ehud Olmert, ancien Premier ministre et éternel aigri de la politique israélienne, a ainsi franchi une ligne rouge ce week-end dans une interview accordée au Guardian. Il y qualifie le projet gouvernemental de création d’une « ville humanitaire » pour les Gazaouis de véritable « camp de concentration », un vocabulaire gravissime qui évoque les heures les plus sombres de l’Histoire juive — et qui alimente dangereusement la propagande antisémite mondiale.

Ce projet, porté par le ministre de la Défense Israël Katz, vise à construire une zone sécurisée dans le sud de Gaza, notamment sur les décombres de Rafah, afin d’y regrouper la population palestinienne civile et de l’éloigner des bastions terroristes du Hamas et du Jihad islamique. Une initiative qui répond à un impératif humanitaire et sécuritaire : protéger les civils tout en permettant à Tsahal de neutraliser les derniers foyers de terreur qui continuent de menacer Israël.

Mais pour Olmert, cette stratégie serait ni plus ni moins qu’un « nettoyage ethnique ». Une accusation d’une violence inouïe, reprise en chœur par les pires détracteurs d’Israël à l’ONU, dans les milieux islamo-gauchistes européens et parmi les ONG ouvertement pro-palestiniennes. Le terme est d’autant plus odieux que la véritable politique génocidaire, elle, est prônée par le Hamas, dont la Charte continue d’appeler à l’extermination des Juifs et à la destruction pure et simple de l’État hébreu.

Qu’Olmert reprenne ces éléments de langage délirants révèle surtout l’échec moral d’une certaine élite israélienne qui, incapable de proposer la moindre alternative crédible, préfère tirer sur son propre camp. Cet homme politique déchu, dont le passage à la tête du gouvernement reste entaché par des scandales judiciaires et une guerre mal conduite au Liban en 2006, n’a plus rien à perdre, si ce n’est la face. Alors il s’adonne aux accusations infamantes, confortablement relayées par les médias anti-israéliens comme le Guardian.

Faut-il rappeler que les propositions israéliennes pour éviter les pertes civiles à Gaza ont été systématiquement torpillées par le Hamas lui-même, qui utilise sa population comme bouclier humain ? Israël, contrairement à ses ennemis, propose un corridor humanitaire et cherche à déplacer les civils hors des zones de combat. Ce qui relève ici d’une logique de protection, Olmert le transforme en une comparaison nauséabonde avec les camps de la mort. C’est une trahison symbolique, une injure à la mémoire des victimes de la Shoah, et un cadeau offert aux ennemis d’Israël.

Le projet de « ville humanitaire » n’est peut-être pas parfait, mais face à un Hamas qui s’accroche à Gaza en sacrifiant son propre peuple, il représente une solution pragmatique. Katz a d’ailleurs ajouté qu’il souhaite « encourager l’émigration » des Gazaouis qui le souhaitent — une perspective qui, loin d’un nettoyage ethnique, offrirait une échappatoire aux civils pris en otage par la terreur islamiste.

Dans ce contexte, les mots d’Olmert sont irresponsables et déshonorants. Et ils révèlent l’écart abyssal qui sépare la classe politique israélienne lucide et ancrée dans la réalité du Moyen-Orient, de ces anciens dirigeants en quête de buzz dans la presse occidentale.

👉 Pour suivre les actualités sur les efforts humanitaires israéliens et la vérité sur Gaza :
https://infos-israel.news/category/israel/
https://infos-israel.news/category/alerte-info-24-24/
https://rakbeisrael.buzz/
https://alyaexpress-news.com/

👉 Pour comprendre qui est vraiment le Hamas et son idéologie :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Hamas

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