Bukala, fils d’un pere d’origine palestinienne (Bethléem), qui s’est rendu au Mur du Kottel en 2018 et est considéré comme pro-israélien, a été élu en février de cette année avec une écrasante majorité de 85 % des suffrages exprimés pour un nouveau mandat de 5 ans, bien que la constitution du Salvador ne le permette pas.

Bokla dirige un parti qui détient 56 des 60 sièges au Parlement et a acheté son monde lorsqu’il a réussi à réduire considérablement la criminalité dans le pays en utilisant, comme on dit, des outils un peu moins démocratiques.


Les résultats parlent d’eux-mêmes et le public du pays apprécie ses réalisations. Les juges qu’il a nommés lui ont permis de modifier la constitution et d’être élu pour un autre mandat.

Bokla est considéré comme « assigné » par les dirigeants libéraux de gauche en Europe. Lors de sa cérémonie d’investiture, étaient présents le président argentin, Javier Millay, le roi d’Espagne et des représentants du parti républicain en Espagne, ainsi que des représentants catalans et aussi… le fils de Donald Trump (qui a serré le président argentin dans ses bras).

Des alliances se nouent entre les partis de droite partout dans le monde. Une sorte de mouvement transcontinental avec un camp et dénominateur commun.