Aujourd’hui, les bureaux de vote seront gardés par 20 000 policiers.

Parmi les sites il y en a 400, que l’on qualifie de «problématiques», il y a déjà eu des bagarres ou des tentatives de falsification. La sécurité devrait y être renforcée.

Environ 3 500 policiers sont équipés de caméras qui filmeront ce qui se passe et enregistreront les violations. Il existe également des unités qui opéreront en civil pour surveiller secrètement ce qui se passe.

La responsabilité de la police comprend également la surveillance du respect des règles anti-épidémiques – les agents identifieront et arrêteront ceux qui sont en quarantaine.

Le vote a commencé il y a plus de deux heures, tandis que des violations ont été enregistrées avec l’ouverture tardive des bureaux de vote à Haïfa, Jérusalem Rosh HaAyin et Kédumim. Des files d’attente importantes se sont accumulées devant les portes, le démarrage des travaux à certains endroits ayant été retardé d’une demi-heure.