Le 23 juin 2025 marque le onzième jour d’une guerre régionale majeure entre Israël et l’Iran. Si cette nouvelle escalade inquiète les chancelleries du monde entier, elle révèle aussi, une fois de plus, la résilience du peuple israélien, l’humanité de ses institutions et la pertinence de sa stratégie de défense face à des ennemis acharnés.
Une pluie de missiles, mais une nation debout
Ce lundi matin, Israël s’est réveillé sous le grondement des sirènes d’alerte. Des salves de missiles en provenance directe d’Iran ont été tirées sur le territoire israélien. Par miracle – ou grâce à la performance exceptionnelle des systèmes de défense comme le Dôme de Fer et les nouvelles technologies de neutralisation israéliennes – aucun mort ni blessé grave n’est à déplorer dans les trois zones d’impact. Cependant, des perturbations du réseau électrique ont été signalées dans le sud du pays.
Mais le prix humain de cette guerre est tout de même lourd. À Petah Tikva, une roquette a coûté la vie à Yvette Shmilovitz, 95 ans, rescapée de la Shoah. Cette femme, qui avait survécu aux horreurs du nazisme pour reconstruire sa vie en Israël, a été tuée par la haine d’un régime qui nie jusqu’à l’existence même de l’État hébreu. Yvette laisse derrière elle trois petites-filles et quatre arrière-petits-enfants. Le maire Rami Greenberg, profondément ému, a promis un accompagnement total à la famille endeuillée.
Ce drame rappelle cruellement que les civils israéliens paient un prix élevé dans ce conflit provoqué par l’agression iranienne.
Une riposte stratégique et chirurgicale de Tsahal
Israël, en état de légitime défense, a réagi avec force mais avec précision. Les Forces de défense israéliennes (Tsahal) ont lancé une série de frappes ciblées contre des sites militaires iraniens. Parmi les cibles visées : des entrepôts de missiles sol-sol destinés à frapper Israël, ainsi que six bases aériennes en territoire iranien, incluant des centres de drones et des aérodromes utilisés par les Gardiens de la Révolution.
Ces frappes, menées avec un souci constant d’épargner les civils, ont permis de neutraliser d’importantes capacités d’agression ennemies. Dix membres des Gardiens de la Révolution auraient été éliminés dans le district de Yazd, selon des sources iraniennes.
Dans la bande de Gaza, un soldat réserviste israélien a été blessé lors d’un affrontement dans le nord du territoire, preuve que le conflit reste actif sur plusieurs fronts. Tsahal a également diffusé une alerte de grande ampleur aux habitants du centre de Khan Younès, leur demandant d’évacuer les blocs 107 à 109 vers des zones plus sûres, alors que l’armée entend neutraliser les sites de tirs de roquettes utilisés par les groupes terroristes.
Soutien international clair à Israël
Alors que certains médias occidentaux critiquent souvent Israël avec partialité, de nombreuses voix influentes dans le monde expriment aujourd’hui un soutien sans équivoque à l’État hébreu.
Le chancelier allemand Friedrich Merz a déclaré :
« Il n’y a aucune raison de critiquer ce qu’Israël a entrepris la semaine dernière. Laisser les choses telles quelles face à l’Iran nucléaire n’était pas une option. »
Cette position allemande, claire et courageuse, confirme l’isolement diplomatique croissant de Téhéran.
Au Royaume-Uni, la ministre de l’Intérieur Yvette Cooper a annoncé l’interdiction sur le territoire britannique de l’organisation « Palestine Action », dont les militants avaient saboté des avions de transport militaire britanniques. Londres refuse désormais de tolérer les groupes pro-Hamas ou pro-iraniens agissant contre ses propres intérêts sécuritaires.
À Washington, des responsables anonymes affirment que les États-Unis s’attendent à une éventuelle tentative de représailles iraniennes contre leurs bases au Moyen-Orient, tout en maintenant leur volonté de solution diplomatique. En parallèle, la Maison Blanche a qualifié de « téméraire » toute tentative de l’Iran de bloquer le détroit stratégique d’Ormuz.
L’Iran sous pression : panique et répression
La panique gagne du terrain à Téhéran. Face à la menace d’une crise intérieure, le régime multiplie les purges. Ce week-end, un ressortissant iranien accusé d’avoir espionné pour le compte du Mossad et dirigé un réseau de cyberespionnage a été exécuté. Un acte révélateur du climat de terreur dans lequel le pouvoir tente de survivre.
De nombreux pays de la région, notamment le Qatar et le Japon, appellent leurs ressortissants à la vigilance. Le Qatar a annoncé que plusieurs ambassades sur son territoire avaient émis des alertes de sécurité. Le Premier ministre japonais a déclaré suivre de près la situation dans le détroit d’Ormuz, artère essentielle au commerce mondial.
Pendant ce temps, les menaces se multiplient. Le chef du Hezbollah libanais, Naïm Qassem, a averti que « toute attaque contre l’Iran aura un coût élevé », tout en accusant Donald Trump d’atteinte à la personne du Guide suprême iranien. Cette rhétorique, bien qu’agressive, traduit surtout la fébrilité croissante de l’axe pro-iranien face à la détermination israélienne.
Israël : un modèle de résilience face à la barbarie
Face à l’ampleur de la menace, l’attitude d’Israël reste exemplaire. L’État hébreu n’a pas choisi cette guerre, mais y répond avec courage, détermination et humanité. Il protège sa population, même dans les zones frontalières, en distribuant des alertes, en évacuant les civils et en répondant de manière ciblée pour limiter les pertes.
Cette guerre, imposée par un régime iranien fanatique en quête d’arme nucléaire, met en lumière l’importance de soutenir Israël, unique démocratie stable de la région. Elle révèle aussi combien le silence ou la complaisance de certains pays occidentaux face à l’Iran auraient pu mener à une catastrophe régionale d’ampleur.
Israël, aujourd’hui, se bat pour sa survie – mais aussi pour celle de la stabilité du Moyen-Orient.
Conclusion :
L’histoire d’Yvette Shmilovitz ז »ל, assassinée à 95 ans après avoir survécu à la Shoah, est le symbole poignant de cette guerre. Une guerre qui oppose la barbarie à la civilisation, l’obscurantisme à la lumière, la haine à la vie. Israël, au prix d’énormes efforts et d’un sang-froid remarquable, fait face. Et il mérite le soutien de tous les pays épris de paix, de justice et de liberté.
Le monde ne doit pas détourner le regard. Il doit choisir son camp. Celui de la paix, de la vie… celui d’Israël.
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