Au cours de la discussion, la crainte a été soulevée qu’une arrestation pénale des émeutiers ne conduise à leur libération dans quelques jours. Parce que les délits de vandalisme ou de violence de faible ampleur n’entraînent pas de mesures significatives. Il a donc été proposé d’arrêter les émeutiers au moyen d’un mandat d’arrêt administratif illimité et de les expulser. Selon l’un des participants à la réunion de consultation juridique, ils n’ont pas exclu la proposition et ont même affirmé qu’une telle procédure, qui inclut une ordonnance administrative, est moins compliquée du point de vue de la preuve.
Une loi qui n’a pas été utilisée ces dernières années
Pour rappel, lors d’une réunion d’urgence tenue hier au bureau du Premier ministre, des mesures ont été envisagées contre les Érythréens qui ont participé aux violations de l’ordre.
L’une des décisions prises lors des discussions est de répondre à la demande d’arrestations administratives du ministre Ben Gvir. Actuellement, la police compte 52 détenus originaires d’Érythrée, la grande majorité d’entre eux pour des délits mineurs, des troubles à l’ordre public, etc.
A la demande de Ben Gvir et avec l’accord du ministère de l’Intérieur et du parquet général, la plupart des détenus poursuivront leur parcours administratif et seront arrêtés avec un faible niveau de preuves. Cette disposition est rendue possible grâce à la loi sur la garde des infiltrés. Cette loi n’a pas été utilisée ces dernières années et, à la demande de Ben Gvir, il a été décidé de l’utiliser et de procéder à une arrestation administratif.
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