L’hostilité envers les chrétiens prend naissance dans le Coran. Et tant que ce violent rejet ne sera pas reconnu et explicitement proscrit par les leaders religieux, les discriminations et les persécutions se poursuivront et les pays musulmans seront toujours au sommet du hitparade de ces violences. Mais en Israël, la communauté chrétienne est protégée.
Autre aspect du rejet coranique : les «croyants» demandent à Allah 17 fois par jour dans leurs prières de les conduire sur «la voie droite» et pas celle des «égarés» et de «ceux qui ont encouru la colère de Dieu». Soit selon la quasi-totalité des exégètes et le savoir de tous les imams, les chrétiens et les juifs.
Le radicalisme s’étend sur la quasi-totalité des pays musulmans (seule l’Arabie saoudite semble vouloir faire le chemin inverse) et avec lui l’hostilité contre tous les non musulmans, dont les chrétiens.
En Turquie, où la communauté chrétienne est minuscule, le rejet est violent. Le 30 décembre dernier, dans son prêche officiel distribué à toutes les mosquées du pays, la Dinayet (ministère du culte) a déclaré que les fêtes de Noël et du Nouvel An ne sont pas compatibles avec la culture islamique, qu’elles sont illégales et qu’il faut s’en tenir éloigné. On a pu voir des panneaux publicitaires sur lesquels un musulman donnait un coup de poing au Père Noël.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :