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Il semble que la révolte dans le sud de la Syrie continue.

Dans la région de Daraa, près de la frontière sud avec Israël, dans le sud de la Syrie, des centaines de résidents de la banlieue ouest du district de Daraa ont lancé des bombardements en bordure de route, provoquant des manifestations violentes contre le régime d’Assad.

Un correspondant de l’agence de presse syrienne « Steve News » a rapporté qu’une bombe placée au bord de la route avait explosé proche d’un véhicule du Hezbollah libanais dans le quartier al-Sahari de la ville de Daraa et que les six passagers, tous des combattants de l’organisation, avaient été tués sur le coup.

Le journaliste syrien a souligné que c’était la deuxième fois en 48 heures que les combattants du Hezbollah dans la région de Daraa étaient attaqués.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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Lors de la première attaque, une bombe placée au bord de la route a explosé au quartier général du Hezbollah à Tapas, dans l’ouest du pays, mais aucune victime n’a été rapportée. Ces derniers jours, le maire d’Eliadoda, Adel al-Zu’bi, a également été attaqué par une grenade à main qui l’a blessé.

Le reporter rapporte également que des manifestations houleuses se déroulent dans plusieurs villes du district de Daraa après que le régime ait tenté de contraindre les habitants à reconstruire la statue de Hafez al-Assad, le père de Bashar, se trouvant de nouveau au centre de la ville de Daraa, devant le bâtiment du directeur du district. De nombreuses communautés environnantes demandent la libération des détenus de la région qui se trouvent dans les prisons du régime.

Un journaliste du réseau, Steve News, affirme que la ville de Tapas est maintenant sous le contrôle du régime et sous le contrôle de la Russie.

Le réseau d’information de la région de Horan, dans le sud de la Syrie, a également annoncé qu’une bombe avait été placée dans la ville de Daraa, où une réunion de commandants s’est tenue entre le Hezbollah et les anciens commandants des forces rebelles. On ignore s’il y a eu des victimes dans cet incident.