« Toute ma vie, je me suis fait une certaine idée de la France. Le sentiment me l’inspire aussi bien que la raison. Ce qu’il y a en moi d’affectif imagine naturellement la France, telle la princesse des contes ou la madone aux fresques des murs, comme vouée à une destinée éminente et exceptionnelle. La France n’est réellement elle-même qu’au premier rang : seules de vastes entreprises sont susceptibles de compenser les ferments de dispersion que son peuple porte en lui-même ; notre pays tel qu’il est, parmi les autres doit, sous peine de danger mortel, viser haut et se tenir droit. Bref, à mon sens, la France ne peut être la France sans grandeur. » (Charles de Gaulle, Mémoires de guerre, tome 1, Plon, 1954)
Compagnons, camarades, citoyennes et citoyens, patriotes français,
Un État payant sa trahison par la corruption de ses élites a livré notre Nation au mépris de son patrimoine, au capitalisme transnational qui chaque jour détruit peu à peu le socle de notre république qui, au cours des siècles, avait établi sur le sol de la patrie les conditions de la solidarité et de l’égalité.
Cet État détruit aussi la nation par sa collaboration aux migrations, volontairement incontrôlées, de peuples en détresse, provoquant une véritable colonisation islamiste de nos villes et de nos villages, une négation de notre droit, une destruction de notre identité.
L’islamisme se sert du capitalisme car, par la destruction des frontières et des identités, il peut s’imposer facilement et combler le vide politique laissé par les fossoyeurs de la nation.
Le capitalisme se sert de l’islamisme pour nous terroriser et imposer son objectif de gouvernance mondiale totalitaire dont le ressort unique est de nous réduire à l’espèce robotisée de machine à consommer.
De Gaulle gouvernait la France, Pompidou l’administrait, Giscard la gérait, Mitterrand l’hypnotisait, Chirac l’endormait, Sarkozy la pillait … Hollande s’apprête à la démanteler. Nous avons comme l’eurent nos frères russes notre Eltsine ! Lorsque la tête manque de caractère et de volonté, de conviction et de loyauté, le corps se laisse aller.
Nous ne croyons pas que la tête se confonde avec notre Nation. Tout au plus se confond-t-elle avec une classe ! LES CHINOIS DISENT QUE LE POISSON POURRIT PAR LA TETE. C’EST VRAI POUR LES PEUPLES COMME POUR LES POISSONS !!
Il existe aujourd’hui un complot – ou si l’on préfère un renoncement – jusqu’aux échelons les plus élevés qui met en cause l’indépendance même de notre patrie et de ses acquis tant moraux, économiques que sociaux et qui permet de mettre à la tête de l’état non plus des chefs mais des gouverneurs de province du grand empire Euro-atlantique.
Nous ne sommes pas chauvins, nationalistes xénophobes ou nostalgiques frileux. Notre nation a été indispensable et est indispensable parce qu’elle est faite de tous les éléments qui composent l’Europe !
Elle est pyrénéenne, elle est atlantique, elle est nordique, elle est orientale par la méditerranée et par ses marches de l’Est, elle tient de l’immense Germanie. Ce sont tous ces apports et cette situation géographique qui explique le génie particulier de la France. Notre pays par son Histoire est hors du temps et c’est pour cela qu’on le célèbre de Dublin à Dakar, de Montréal à Pékin et que les peuples y retrouvent sa vocation universelle ! Nous devons le préserver car il est le dernier rempart contre la menace mortelle de toute civilisation : l’uniformité et sa traduction politique, le mondialisme.
Le mondialisme ! Ce mot qui rime avec mercantilisme. Le mondialisme c’est la tour de Babel ! C’est la volonté de domination d’une idéologie qui fabrique des chiens gras, heureux d’avoir leur collier avant d’être jeté dans la fosse avec les loups maigres qui eux résistent et qu’on abat sans aucune pitié !
La constitution de l’Europe et cet entêtement autour de l’euro est un non-sens politique, économique et culturel. L’Histoire à montré que toute monnaie plurinationale est vouée à exploser s’il y a des déséquilibres dans les économies qui la partagent.
L’euro n’échappera pas à la règle car les différences culturelles et économiques en Europe sont énormes. La révolution qui émerge en Grèce, l’effondrement de l’Espagne, la prévisible débâcle italienne, la fin du miracle britannique et la décadence de nos institutions ne sont que les premiers symptômes que certains refusent encore de percevoir comme une nouvelle « drôle de guerre ».
L’Europe de Bruxelles est « euphorique » car elle est droguée à la dette. Sa dépendance ne fait qu’augmenter sa dose de drogue en créant encore plus de dettes ! Tout cet argent spéculatif et toxique a pour conséquence ultime la ruine des travailleurs, des « petites gens » et entraîne une crise sociale d’une importance sans précédent.
Ce sont les États-Unis qui ont planifié et souhaité la création de l’euro, avec la complicité de la Communauté européenne, pour « contaminer » l’Europe avec leur concept de mondialisation et de profits maximum à court terme. Ils ont créé un endettement abyssal et démantelé leur industrie. Les États européens ont servilement suivi la manœuvre.
Avec 2200 milliards de dollars que la Chine détient en bons du Trésors américains, chaque chinois possède une créance virtuelle de 15’000 dollars envers les États-Unis. Pour l’instant, il n’est pas dans l’intérêt de la Chine de voir chuter la monnaie américaine ; elle continuera donc à augmenter ses réserves en bons du Trésors, qu’elle finira par utiliser pour acheter des pans entiers de l’industrie américaine. Et elle fera vraisemblablement de même, dans la foulée, avec les pays occidentaux si ces derniers ne se protègent pas par un retour à leur souveraineté monétaire et territoriale, visant à la reconstruction d’un tissu industriel, seul gagnant d’une stabilité économique à long terme…
Voulons-nous de ce scénario ? Voulons-nous de ce mondialisme ? Non ! Le projet français est l’exact contraire ! Il est UNIVERSEL !
Car l’universel, c’est ce qui est synonyme de perfectionnement et d’avancée en tout temps et en tout lieu. La Renaissance c’est universel, la Révolution française c’est universel, la Résistance c’est universel !
Parce que, répétons-le, la France résumé de l’Europe, ne doit pas se dissoudre. C’est une querelle de très haut niveau. Elle n’est pas médiocre. Et si nous considérons que nous pouvons nous trouver devant des adversaires, nous devons admettre qu’ils ne sont pas nos ennemis dans la mesure où nous ne reconnaîtrons jamais un citoyen comme un ennemi SAUF si c’est un traître, un prévaricateur, un liquidateur, un mercenaire de l’Empire.
Nous croyons à la fois en la Liberté et à l’autorité du peuple, à l’ordre et au progrès, au mouvement et à la stabilité, à la Patrie et à la Révolution !
Nous croyons à l’universalisme de la pensée pour réaliser l’union de ce monde dans la diversité maintenue, nous croyons dans les Nations comme étant les formes les plus évoluées et les moins imparfaites des communautés humaines.
Nous croyons enfin et surtout à la nécessité de la Résistance pour lutter contre toutes les formes de désagrégation qui nous assaillent, extérieures comme intérieures.
La Résistance n’est pas une vile réaction : elle est la restauration de l’indépendance de la Nation dans le respect de ses constantes, une prise de conscience de notre communauté, de la liberté des citoyens, du droit imprescriptible à une justice équitable pour tous, à la sécurité individuelle comme à la sécurité sociale.
C’est la seule conception véritablement révolutionnaire face aux soumissions, aux compromissions, aux conformismes, aux abandons, aux lâchetés de notre temps !
Nous avons donc besoin d’abord et surtout du consensus national. La véritable démocratie est le plus difficile des régimes, celui qui exige le plus de vertu des citoyens. Rien de grand ne se fait sans le mouvement et l’assentiment du peuple. Aucune révolution n’est pensable sans le rétablissement de l’esprit de sacrifice pour quelque chose de plus grand que notre petit spécimen.
Patriotes français, l’Ancien régime et ses valets qui nous servent de gouvernement ne peuvent tenir encore en place que par notre passivité devant l’insolente dérive mafieuse mondialiste des copains et des coquins.
Notre génération a donc le redoutable honneur de mener trois combats sur trois fronts : L’insurrection, la Révolution et la guerre.
Insurrection face à un pouvoir inféodé aux puissances de l’argent. Révolution contre le libéralisme marchand de droite ou de gauche. Guerre contre le cheval de Troie islamiste.
Rappelons-nous Machiavel : « Celui qui établit une dictature et ne tue pas Brutus, ou celui qui fonde une république et ne tue pas les fils de Brutus, celui-là ne régnera que peu de temps ».
A l’heure où, en l’absence de toute force de l’ordre, des traîtres ont pris d’assaut la Bastille le soir du 6 mai, l’une des place les plus emblématiques de France, haut lieu traditionnel des discours au peuple, s’en approprient les monuments, brandissent sur leurs sommets l’étendard vert, marqué du croissant de l’islam, sous les acclamations d’une foule d’où émergeaient des «Allah o Akbar»; il est temps que partout dans chaque région, chaque commune, chaque usine, sur chaque parcelle de notre terre naissent des Comités de Salut Public où tous les français, sans distinction de classe, d’ethnie, de religion ou d’idéologie pourront s’organiser pour prendre en charge eux-mêmes la destinée de la France.
Malheur à ceux qui nous volent en nous avilissant ! Compagnons, camarades, citoyennes et citoyens, patriotes français. Vive la Résistance ! Vive la Commune insurrectionnelle !