Le problème du «racisme anti-blanc» est entré dans le champ public en France après de nombreuses années de silence. Dans la lutte contre le racisme, la classe politique, a décidé de garder le silence sur le sujet délicat de la haine agressive des habitants des banlieues des grandes villes contre les Français de couleur blanche.

Le racisme anti-blanc est devenu le rap, le genre de «protestation» des Français d’origine africaine et arabe, où les textes les plus sanglants sont entendus sous le label de la «liberté d’art et d’expression». Outre les déclarations contre le «pouvoir blanc» et contre la France, les discours des rappeurs incluent constamment le thème de la «libération de la Palestine». L’un ne pouvant être séparé de l’autre.

Le problème a explosé et fait la une des journaux après la publication du « chef-d’œuvre » de l’un des rappeurs français, Nick Conrad. À la mi-septembre, il a publié une chanson sur YouTube appelant à « détruire les bébés blancs et à pendre leurs parents ».

«Je vais à la maternelle, je tue des bébés blancs. Attrape-les rapidement et pend leurs parents », explique Conrad à un rythme agressif dans un album intitulé PLB, ou« Pendez les Blancs ». «Brûler», «torture», démembrer »,« mettre une balle dans leur crâne » sont des verbes souvent entendus dans les œuvres de« l’artiste noir, parisien fier et raffiné », comme il se présente lui même.

Son clip commence par la scène de la pendaison d’un homme blanc à la périphérie de Paris, à Noisy-le-Grand. Après l’ouverture d’une procédure contre Conrad auprès du parquet de Paris, le clip a été retiré de toutes les plate formes : deux Noirs insèrent un pistolet dans une bouche d’un blanc avec un sac sur la tête. Ils se moquent de lui et crient des mots qui ne laissent aucun doute sur la nature raciste du clip : «Prouvez que vous avez les gènes, que vous avez un ADN magique ! Les Blancs courent-ils vite?

La classe dirigeante, du ministre de l’Intérieur aux intellectuels et militants d’organisations antiracistes, a exprimé la semaine dernière sa plus totale indignation devant le texte et la vidéo du rappeur. Comme si qu’il s’agissait du premier cas de racisme anti-blanc de la bouche des « stars » de ce genre ?

Il n’y a pas si longtemps, «Fuck la France, Fuck Domenech !» a été suggéré dans son texte par l’un des rappeurs les plus célèbres comme Booba, devenu un demi-dieu pour les habitants de la banlieue parisienne. Le rappeur franco-algérien Medine, qui prêche l’islam fanatique, appelle les auditeurs à « crucifier le peuple laïc au calvaire ».

Un autre rappeur extrêmement populaire, Black M, a qualifié la France de «pays du kafir» (infidèle). Cela n’a pas empêché les organisateurs de la cérémonie du centenaire de la bataille de Verdun de l’inviter à donner un concert pour les jeunes après le programme officiel. En conséquence, l’ennemi « kafir » n’a pas parlé de la bataille du Verdun.

Et pas seulement dans le rap.

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La chef du mouvement arabo-musulman «Les peuples autochtones de la République», Houria Bouteldja, a publié il y a deux ans un livre raciste « Les Blancs, les Juifs et nous ». Elle appelle les « Blancs français » des ennemis, à moins qu’ils ne se lancent dans la lutte pour les droits du « Sud opprimé ». Blanc est mauvais par définition, insiste Bouteldja mais elle lui laisse une chance : « Blanc, se solidifiant avec les opprimés du Sud, cesse d’être blanc en termes sociaux et politiques. » Le livre n’a pas rencontré de rebuffade sérieuse dans l’environnement intellectuel, en dépit du fait qu’il opère exclusivement avec des étiquettes raciales et prêche la haine.

Maintenant, après la vidéo de Conrad, l’élite a semblé se réveiller, réalisant ce que les idées noires font dans les banlieues des grandes villes… au nom aussi de la Palestine.

Une politique française anti-israélienne qui aujourd’hui se paie en actes et racisme.