La France vient encore une fois de s’humilier elle-même. Et d’envoyer un message glaçant aux familles des victimes et à toute la communauté juive de France : le terrorisme paye. La justice française a en effet accordé une libération conditionnelle à Georges Ibrahim Abdallah, terroriste libanais condamné à la réclusion criminelle à perpétuité depuis 1987 pour complicité dans les assassinats en 1982 à Paris d’un diplomate américain, Charles Ray, et surtout d’un diplomate israélien, Yacov Barsimantov.
Cela faisait onze fois qu’il en faisait la demande. Jusqu’ici, les juges avaient résisté à l’absurde. Mais cette fois, ils ont cédé. En douce, à huis clos, dans une audience sans public, sans presse, sans même la présence du condamné — lui qui croupit paisiblement dans sa cellule de Lannemezan, dans les Hautes-Pyrénées, attendant que la République baisse son froc. Voilà qui est fait.
Et quand on parle de libération « conditionnelle », il faut bien sûr s’interroger : quelles conditions ? Abdallah n’a jamais exprimé le moindre remords, il reste un militant revendiqué de la cause armée, proche des sphères islamistes, et admiré par les antisionistes notoires. Il n’a jamais indemnisé les familles des victimes, jamais fait amende honorable. Bref, la justice française a inventé un concept : la libération sans condition d’un condamné à perpétuité. Le ridicule tue moins vite que les balles.
Ce n’est pas une surprise si déjà dans les cercles de la France Insoumise, de l’extrême gauche et des islamo-gauchistes, on s’apprête à dérouler le tapis rouge à cette « icône de la résistance palestinienne » — comprendre : un tueur qui a fait couler le sang juif et occidental. Les rassemblements ne manqueront pas de s’organiser, avec portraits brandis et slogans en arabe. Rendez-vous au prochain meeting de soutien au Hamas dans les rues de Paris ?
Pendant ce temps-là, la communauté juive de France, elle, a bien compris le message : leur sécurité, leur dignité, leur mémoire ne pèsent rien face à la fascination morbide de certains juges et politiciens pour les « révolutionnaires » qui massacrent au nom de la lutte contre l’impérialisme.
Et les Israéliens ne sont pas dupes : en Israël, un tel individu aurait fini ses jours dans une cellule anonyme, sans photo, sans chant de louange, sans hashtag. Mais en France, on préfère tresser des couronnes aux ennemis de l’Occident sous prétexte de droit et d’humanité. Ah oui, humanité… sauf pour les victimes.
Rappelons que si Abdallah n’a pas été expulsé depuis longtemps vers le Liban, c’est parce que Beyrouth refuse officiellement de le reprendre. Pas fous les Libanais : eux savent qu’on ne relâche pas un monstre. Mais Paris, elle, trouve cela normal. À ce stade, pourquoi ne pas lui proposer un poste d’enseignant à Sciences Po Paris, aux côtés des activistes pro-BDS ?
Le plus cynique dans cette affaire, c’est que pendant que l’État français relâche les terroristes, il se montre intraitable avec les défenseurs d’Israël, en les qualifiant d’extrémistes, et dissout à tour de bras des mouvements qui rappellent simplement la légitimité de l’État juif. Mais bon, tant qu’on pourra continuer à commémorer la Shoah à l’Assemblée, tout va bien…
Pour suivre les véritables menaces contre Israël et les enjeux de sécurité régionaux :
👉 https://infos-israel.news/category/alerte-info-24-24/
👉 https://infos-israel.news/category/israel/
Et sur la manière dont la désinformation transforme les bourreaux en victimes :
👉 https://infos-israel.news/category/desinformation/
Il faut bien dire ce que personne n’ose affirmer : Trump aurait réglé l’affaire en deux tweets et une frappe ciblée. Le reste n’est que posture d’un pays qui a perdu toute colonne vertébrale.
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