France : le cinĂ©aste israĂ©lien Yaniv Horowitz battu par un groupe d’arabes jusqu’Ă  perdre connaissance (Mise Ă  jour)

 

Le réalisateur du film israélien Yaniv Horowitz « Rock the casbah » a été lynché en France au sortir d’une projection. Yaniv Horowitz, en lice au Festival international du Film d’AUBAGNE pour « Rock the casbah« , dans la catégorie fiction longs métrages, a été agressé et battu par des « jeunes arabes » aujourd’hui, juste après la projection de son film.

Yaniv Horowitz battu jusqu’à perdre connaissance au Festival international du Film a été frappé par plusieurs arabes, juste avant de remporter le prix du meilleur film . Quelques instants avant, le cinéaste israélien projeté son film « Rock la Casbah » qui relate  la première Intifada au Festival du film français, il aurait été attaqué et battu jusqu’à perdre connaissance par un gang d’adolescents arabes.

Dans un état inconscient, il a été traité au sein même du festival. Après avoir récupéré des coups qu’il a reçus, il est retourné au  festival «en bon état». Après cette attaque violente, le film Horowitz a remporté le Prix Spécial du Jury pour le Meilleur Film. Le chanteur et musicien israélien Assaf Amdursky a également reçu un prix pour un film dont il a composé la musique.

Ce n’est pas la première fois que la communauté juive est touchée en France,  les statistiques montrent une augmentation alarmante de 58% dans des attaques antisémites en France, dont la fusillade dans une école juive à Toulouse qui a tué 3 enfants juifs et un enseignant juif.

Ce dernier incident dont nous n’avons pas plus de détails car les médias français n’en parlent pas montre comment l’antisémitisme et l’antisionisme sont une cause liée par le nouveau antisémitisme arabe en France.  Attaquer à plusieurs un cinéaste israélien alors qu’il assistait à un festival de cinéma qui a de plus remporté un prix est une réalité française difficile à réaliser pour un pays qui se dit démocrate et respectueux des droits humains.

Mise à  jour :

Cette agression a été contredite par le Festival d’Aubagne. Pour rappel, la source vient du site Haaretz qui n’est pas un site militant, à l’origine puis repris par le Crif en France.

Selon nos dernières informations, il s’agit, d’après des témoignages concordants, d’une altercation entre jeunes se promenant le soir dans la rue. Insultes, colère, suivie d’un coup violent  contre Horowitz . Ce n’est qu’après son retour en Israël qu’une polémique fut lancée.

Pour rappel, le titre de l’article du Haaretz était sans équivoque : « un cinéaste israélien frappé par des jeunes Arabes en France ». Dans son interview, Horowitz indiquait qu’en se promenant le soir avec l’auteur de la musique de son film, ils avaient été insultés par un groupe de jeunes, auxquels il avait répondu, puis qu’il avait reçu un coup à la tête et qu’il avait brièvement perdu connaissance. Dans l’article, la journaliste écrit que Horowitz a indiqué que les agresseurs étaient à l’évidence arabes et qu’ils étaient ivres. À noter que les insultes que rapportait le cinéaste n’avaient pas de connotation antisémite ou anti-israélienne.


Rédaction francophone Infos Israel News pour l’actualité israélienne
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8 Commentaires

  1. oui l ‘ info n ‘ a pas ete relayĂ©e en france ! il ne faut surtout pas montrer du doigt  » ces jeunes dĂ©soeuvrĂ©s  » et de plus arabos musulmans , ca ferait trop dĂ©sordre et serait trop impolitiquement incorect !! le gouvernement francais prefere detourner ses yeux sur leurs agissements antisemites , et puis plus de 10 a 15 millions d ‘ allogenes en france ca pese lourds dans la balance face aux 500 milles juifs restant en france …..

  2. Ce qui se passe est aussi de notre responsabilité.
    Nous pouvons, SI NOUS LE VOULONS ET NE SOMMES PAS DES PLEUTRES, lancer un avertissement clair au gouvernement. Comment:

    Que tous les Juifs fassent une grève de 24h, mĂ©decins, pharmaciens, avocats, commerçants fermeront boutique, n’exerceront pas leur profession, une journĂ©e, ceci sera assorti d’un avertissement clair Ă  l’Ă©tat:
    « Ce que vous voyez est ce qui se passera si vous ne vous dĂ©cidez pas Ă  mettre TOUT en oeuvre pour stopper cet antisĂ©mitisme, c’est-Ă -dire si vous ne muselez pas les mĂ©dias et leur dĂ©sinformation nausĂ©abonde, si vous ne traduisez pas VRAIMENT en justice les dĂ©linquants…
    Ces magasins fermĂ©s, ces mĂ©decins, avocats etc…qui ne travailleront pas aujourd’hui, c’est ce que vous verrez lorsque nous quitterons massivement la France, oĂą nous ne sommes plus en sĂ©curitĂ©.
    A vous de choisir! »

    Cessons de pleurnicher, battons nous, dĂ©fendons nous, menaçons s’il le faut et en dernier ressort prĂ©parons effectivement notre valise

  3. Il n’est pas question de travestir les mots et gĂ©mir inutilement. En France, et c’est suite Ă  son laisser faire, on assiste Ă  l’installation sauvage de groupes d’Ă©trangers aux antipodes de la civilisation occidentale: pauvres, incultes et vindicatifs. Cette 5e colonne s’est rapidement positionnĂ©e dans une idĂ©ologie de haine et de violence. Le multiculturalisme et le « vivre ensemble » ont fait faillite et il Ă©tait Ă©vident sauf pour les gouvernements de technocrates aveugles que « le vinaigre et l’eau sont insolubles » disait de Gaulle. Aujourd’hui, force est de constater cette scandaleuse situation ou le français de pure souche est infĂ©riorisĂ© dans on propre pays.Il ne peut plus chanter librement  » Chère France, doux pays de mon enfance ». La laicitĂ© tant crânement prĂ´nĂ©e par les purs rĂ©publicains n’est pas respectĂ©e et c’est la faute Ă  ces gouvernements couards et corrompus. Les français doivent mettre en avant leur compatibilisme et le dĂ©fendre dans la rue mĂŞme.

  4. Jusqu’Ă  quand et jusqu’oĂą ? Nous, juifs de France avons eu des morts ( Halimi, Jonathan Sandler et ses deux fils, la petite Myriam, zichronam lebreakha), et la cohortes de victimes, blessĂ©es dans leurs corps et dans leurs âmes..
    Jusqu’oĂą ? OĂą se situe le point de non retour ? Faut il devenir violent ? Et contre qui ? Notre avenir me paraĂ®t bien sombre….du moins dans notre pays, cette France que l’on aime et dont nous ne voudrions pas nous sĂ©parer. Qui sait donc ce qui nous Attend et quel sera notre avenir ? Brouillard. … Et pas un de nos leaders pour nous Ă©clairer, car ils n’en savent pas plus que les autres.
    .

  5. Nous sommes rĂ©ellement surpris de la dĂ©sinformation autour de ce fait divers qui se transforme, au fil des sites d’informations, en un drame antisĂ©mite.
    Il ne suffit pas de dire « les autoritĂ©s » pour justifier des mensonges tels ceux que l’on peut lire sur ces « sites d’informations ».
    Nous Ă©tions sur place lors de l’agression du rĂ©alisateur Yariv Horowitz le jeudi 21 octobre Ă  22h30. Il ne nous appartient pas de juger Ă  qui revient la faute et aucune agression n’est excusable. Mais il convient de rĂ©tablir certaines vĂ©ritĂ©s :
    1 – Ce ne sont pas des hommes qui ont commis l’agression mais un jeune mineur qui Ă©tait avec d’autres jeunes de son âge.
    2 – Celui-ci n’Ă©tait pas arabe.
    3 – Les Ă©vĂ©nements qui ont dĂ©clenchĂ© le coup (un seul coup) n’ont rien Ă  voir avec une agression raciste.
    4 – Yariv Horowitz a Ă©tĂ© soignĂ© par les pompiers qui lui ont proposĂ© de dĂ©poser une main courante. Le rĂ©alisateur a refusĂ©. Ces blessures Ă©tant minimes il n’a pas souhaitĂ© non plus aller Ă  l’hĂ´pital.
    5 – Loin du lynchage, Yariv Horowitz a repris le cours du festival dès le lendemain et a participĂ© aux diffĂ©rents Ă©vĂ©nements jusqu’Ă  la fin du festival.
    6 – Il est montĂ© sur scène le soir de la remise des rĂ©compenses avec le sourire pour recevoir son prix : mention spĂ©ciale du jury pour la qualitĂ© de sa mise en scène.

    Nous ne souhaitons mettre en cause qui que ce soit, nous ne sommes pas juge. Nous avons souhaitĂ© sĂ©lectionner le film « Rock the Casbah » pour ses qualitĂ©s, cinĂ©matographique et musicale, et parce qu’il faisait montre d’une certaine objectivitĂ© dans le conflit israĂ©lo-palestinien. En effet ce film a la grande qualitĂ© de ne stigmatiser aucun des camps.

    Nous appelons Ă  la raison et demandons aux propagateurs d’informations de faire leur travail selon la dĂ©ontologie du mĂ©tier de journaliste et de ne pas attiser les haines Ă  partir d’informations parcellaires et non vĂ©rifiĂ©es.

  6. Je lis avec stupeur la pseudo information diffusĂ©e par Alyabreaking-News. S’il y a intox – je n’emploierai pas ce mot mais plutĂ´t l’expression « manque de professionnalisme » – c’est bien de la part de Alyabreaking-News. Ă€ tout le moins on doit parler de lĂ©gèretĂ© dans la manière dont ce mĂ©dia que je ne connais pas traite les informations qu’il diffuse. Comme le dit le Festival d’Aubagne dans la rĂ©ponse qu’il apporte, il y a lĂ  un problème de dĂ©ontologie journalistique.
    Je me permets cette intervention dans la mesure oĂą j’ai passĂ© la semaine entière au festival d’Aubagne et que le soir de l’agression de Yariv Horowitz je me trouvais justement sur les lieux. Il Ă©tait en effet environ 22h30 et l’endroit oĂą s’est passĂ© l’incident n’est pas du tout la sortie de la salle de projection, mais devant la salle du Bras d’Or – pour ceux qui connaissent Aubagne – soit Ă  400m du cinĂ©ma.
    Qui plus est, le film de Yariv Horowitz a bien Ă©tĂ© diffusĂ© le mĂŞme jour (21 mars)… mais Ă  15h15, la sortie de la sĂ©ance s’est faite vers 17h15 ou 17h30. Je le sais aussi très bien puisque lĂ , malheureusement je suis arrivĂ© une demi-heure trop tard pour voir le film.
    Enfin, la nature de l’agression est exactement celle dĂ©crite dans le courrier ci-dessus du Festival d’Aubagne.
    J’ajoute que le film « Rock the Casbah » a Ă©tĂ© particulièrement bien reçu par le public et a mĂŞme Ă©tĂ© primĂ©. Enfin, il se trouve que j’ai eu l’occasion de croiser Yariv Horowitz le lendemain et d’Ă©changer quelques mots avec lui Ă  propos de la sortie de son film. Le jeune rĂ©alisateur ne m’a pas semblĂ© Ă  ce moment lĂ  affectĂ© par les Ă©vĂ©nements de la veille. Que, sur le coup, il ait Ă©tĂ© choquĂ© de l’agression dont il a Ă©tĂ© l’objet me semble Ă©vident, mais il a passĂ© le reste du festival très tranquillement et, comme le dit le courrier ci-dessus du festival, lors de la soirĂ©e du palmarès il Ă©tait parfaitement serein et souriant.

    Je peux Ă©galement comprendre la rĂ©action des internautes qui se sont exprimĂ©s, ils ont pris cette annonce pour vraie et nous sommes plus d’un qui aurions rĂ©agit Ă  une agression raciste quelle qu’elle soit.

    Je connais très bien ce festival auquel j’assiste chaque annĂ©e depuis ses dĂ©buts. Je connais Ă©galement très bien les personnes qui l’organisent et quiconque les connait sait très bien que si l’agression avait Ă©tĂ© un tant soit peu liĂ©e Ă  la diffusion du film et/ou de nature raciste ils auraient immĂ©diatement rĂ©agi.

    Chacun pourra comprendre, j’espère, ma colère en voyant comment les faits ont Ă©tĂ© rapportĂ©s.
    J’espère Ă©galement que d’autres personnes qui Ă©taient prĂ©sentes au festival et en particulier ce soir lĂ  apporteront leur dĂ©menti Ă  l’information diffusĂ©e par votre site.

    Marc Ripoll