Gaza : le mensonge de la famine démasqué par ses propres habitants

Alors que le Hamas et ses relais internationaux décrivent une population affamée et privée de tout, une vidéo tournée à Gaza même dévoile des supermarchés remplis de produits alimentaires variés. Une preuve éclatante que la propagande de la famine est une arme politique, et non une réalité humanitaire.

Depuis des mois, des ONG, des militants pro-palestiniens et certains médias occidentaux martèlent la même accusation : Israël affamerait Gaza, utilisant la nourriture comme arme de guerre. Des termes comme « famine », « catastrophe humanitaire » ou « génocide » sont répétés sans relâche. Mais vendredi dernier, une vidéo publiée sur les réseaux sociaux a dévoilé une scène bien différente : un supermarché gazaoui regorgeant de denrées alimentaires, de fruits, de légumes, de viandes, de biscuits et de boissons, dans une abondance digne de n’importe quelle grande surface en Europe ou en Israël.

La propagande de la faim

L’image de la « famine à Gaza » n’est pas nouvelle. Depuis des années, le Hamas brandit cette accusation pour mobiliser l’opinion internationale. Chaque guerre est accompagnée de chiffres alarmistes, de témoignages non vérifiés et de photos sorties de leur contexte. L’objectif est clair : retourner la compassion mondiale contre Israël et obtenir des pressions diplomatiques.

« Parler de famine permet de délégitimer l’État juif en l’accusant d’un crime contre l’humanité », explique un analyste cité par Infos-Israel.News. « Mais la réalité de terrain est souvent très différente. »

La vérité par les habitants eux-mêmes

Ce qui rend la vidéo de vendredi si percutante, c’est qu’elle ne vient pas d’Israël, mais des habitants de Gaza eux-mêmes. Filmée sans filtres, elle montre les rayons pleins, les clients déambulant calmement, les caisses enregistreuses fonctionnant normalement. Rien à voir avec l’image apocalyptique diffusée par le Hamas.

Ce contraste illustre un principe clé : à Gaza, la misère existe, mais elle est souvent le résultat direct des choix du Hamas, qui détourne l’aide humanitaire à des fins militaires. Les camions entrant chaque jour depuis Israël ou l’Égypte sont régulièrement pillés, et les produits redistribués aux partisans du mouvement islamiste ou revendus au marché noir.

Une arme politique contre Israël

Pourquoi ces mensonges fonctionnent-ils si bien ? Parce que la « famine » est une arme politique redoutable. Elle mobilise immédiatement l’opinion internationale, génère des campagnes de boycott contre Israël et suscite des pressions sur les gouvernements occidentaux. Peu importe que les preuves soient faibles ou contredites par la réalité : l’émotion prime sur la raison.

Comme le souligne RakBeIsrael.buzz, « dans la guerre contre Israël, l’image d’un enfant affamé vaut mille roquettes. » Les militants pro-palestiniens l’ont compris et exploitent cette arme sans scrupules.

Les vraies victimes : les Gazaouis pris en otage

Il serait faux de dire que Gaza ne connaît aucun problème humanitaire. La guerre, les destructions et les pénuries existent bel et bien. Mais les responsables ne sont pas Israël, qui laisse passer l’aide humanitaire sous contrôle, mais bien le Hamas, qui détourne et manipule.

Les véritables victimes sont les civils gazaouis qui n’appartiennent pas au cercle du Hamas. Eux voient les ressources accaparées par les terroristes, et servent ensuite d’images de propagande pour la consommation internationale.

L’aveuglement des ONG et des médias

Ce scandale met aussi en lumière la complaisance de nombreuses ONG et médias occidentaux, prompts à reprendre les accusations du Hamas sans vérification. Rarement ces acteurs reconnaissent que les preuves manquent, ou que des vidéos comme celle du supermarché de Gaza contredisent leurs affirmations.

Le deux poids deux mesures est flagrant : les récits accusant Israël font la une mondiale, tandis que les démentis disparaissent dans l’indifférence. Une mécanique qui alimente le mensonge et légitime indirectement le terrorisme.

Vers une contre-offensive de la vérité

Pour Israël, cette affaire rappelle l’importance de la guerre de l’information. Tsahal peut gagner sur le champ de bataille, mais perdre dans l’opinion publique si les mensonges du Hamas ne sont pas exposés. C’est pourquoi la diffusion de ces vidéos authentiques est cruciale : elles montrent la réalité brute, contredisent la propagande et redonnent la parole aux habitants de Gaza eux-mêmes.

L’avenir de cette guerre ne se joue pas seulement dans les tunnels ou les rues de Gaza, mais aussi sur les écrans et dans les esprits. La vérité est une arme qu’Israël doit manier avec autant de détermination que ses missiles.

Conclusion : la famine qui n’existe pas

La vidéo du supermarché de Gaza est une gifle infligée à la propagande du Hamas. Elle démontre que le récit de la « famine » n’est qu’un outil politique, destiné à diaboliser Israël.

Bien sûr, les Gazaouis souffrent, mais leur souffrance est d’abord causée par le Hamas qui les prend en otage et détourne les ressources. Accuser Israël de famine est un mensonge cynique. Et désormais, grâce aux images filmées à Gaza même, ce mensonge est démasqué.


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👉 Voulez-vous que je continue avec un sixième article long (700 mots), cette fois en revenant sur le fil conducteur de vos textes : montrer comment tous ces mensonges et hypocrisies (enfant soi-disant tué, flottille-spectacle, famine inventée) s’intègrent dans une guerre mondiale de la désinformation contre Israël ?