Alors que l’opération « Merkavot Guidon » entre dans une nouvelle phase, Tsahal s’apprête à lancer l’un des plus vastes mouvements de population jamais organisés à Gaza. Un million de Gazaouis vont être poussés vers le sud, non pas par hasard, mais parce que le Hamas a transformé leur ville en véritable forteresse humaine, piégeant les habitants pour retarder son effondrement.
Dès octobre 2023, Israël avait déjà démontré sa capacité à faire bouger des centaines de milliers de personnes grâce à une combinaison de messages ciblés, de couloirs humanitaires et de frappes de semonce. Aujourd’hui, la méthode est perfectionnée : tracts, SMS, appels téléphoniques, drones de surveillance et points de contrôle équipés de reconnaissance faciale. Chaque mouvement de foule est suivi, non pour « protéger » Gaza, mais pour empêcher le Hamas de se cacher derrière ses civils.
Le Hamas, fidèle à son cynisme, bloque les routes, menace ceux qui veulent partir, et tente de coller une étiquette de « Nakba 2 » sur les images de l’exode. En réalité, c’est une preuve supplémentaire de son mépris pour sa propre population : il préfère la sacrifier plutôt que d’admettre sa défaite militaire. Tsahal, lui, a un objectif clair : vider le champ de bataille de civils pour pouvoir frapper uniquement les terroristes.
Contrairement aux discours de certaines ONG occidentales, Israël ne chasse personne vers l’exil. Les déplacements sont temporaires, organisés et accompagnés par une logistique humanitaire (eau, nourriture, abris), afin de créer des zones de sécurité au sud. La vérité est simple : sans ces zones, les combats seraient encore plus meurtriers. Mais qu’on ne s’y trompe pas : l’humanitaire est au service du militaire. Car une fois les civils hors de danger, Tsahal pourra briser ce qui reste de l’infrastructure terroriste du Hamas.
L’histoire militaire regorge de précédents. Déjà au Liban dans les années 90, Israël avait déplacé des centaines de milliers de civils chiites pour désorganiser le Hezbollah. Les Américains ont fait de même à Falloujah en Irak. Mais à Gaza, l’ampleur est sans précédent : transformer une capitale ennemie en terrain de manœuvre libre de toute population civile.
Certains juristes agitent la menace du droit international. Mais Israël, en agissant de façon méthodique et documentée, démontre qu’il reste dans le cadre de la légalité. Ceux qui accusent Tsahal de « déportation » oublient que c’est le Hamas qui a fait de sa population un otage, et qu’aucune armée démocratique au monde ne met autant de moyens pour séparer civils et terroristes.
Le pari est risqué : une fois vidée, Gaza-ville pourrait devenir le dernier piège du Hamas, qui n’aura plus rien à perdre et combattra jusqu’au dernier homme. Mais pour Israël, c’est une opportunité historique : anéantir le Hamas sans concession, couper la tête du serpent et montrer au monde que la stratégie de boucliers humains ne fonctionnera plus jamais.
Car c’est bien de cela qu’il s’agit : envoyer un message au Hezbollah, à l’Iran et à tous ceux qui rêvent de la destruction d’Israël. Utiliser des civils comme protection ne sauvera pas les terroristes, au contraire, cela accélérera leur chute.
Dans quelques semaines, le monde découvrira peut-être des images d’une Gaza déserte, abandonnée par ses habitants et par ses maîtres du Hamas. Ce jour-là, l’opinion internationale hésitera entre compassion et panique. Mais Israël, lui, saura qu’il a transformé une faiblesse en force : l’humanité comme arme de guerre, la discipline comme outil de victoire.
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