A 72 ans, la femme qui a été violée par un migrant adolescent a « perdu la volonté de vivre » quelques mois avant que son agresseur ait été libéré de prison en Autriche.
La femme est dans un état critique dans le service de soins intensifs à l’hôpital local après avoir arrêté de se nourrir et elle est maintenant maintenu en vie par des dispositifs.
Sa fille, jusqu’à la tragédie était employée pour l’aide aux réfugiés.
La retraitée a été attaquée le 1er Septembre 2015 par un musulman de 17 ans, demandeur d’asile en provenance d’Afghanistan quand elle lui tendit la main pour le tirer de la rivière.
Lorsque l’affaire est allée au tribunal en janvier de cette année, l’adolescent, identifié comme Wahab M., a fait l’objet d’une peine de prison de 20 mois.
Il ne sera pas expulsé mais libéré parce que la peine ne dépasse pas trois ans.
La femme a été attaquée à l’automne dernier en marchant le long du canal à Traiskirchen, non loin du plus grand centre de réfugiés de l’Autriche.
Elle a dit à la cour à l’époque : « C’était une journée très chaude et j’ai décidé de prendre mon chien pour une promenade le long de la rivière Schwechat, et j’ai vu deux jeunes hommes nager là-bas ».
Elle a dit que l’un des jeunes hommes lui a tendu sa main, lui demandant de l’aider à sortir, ce qu’elle a accepté.
Elle a dit : « Tout à coup, j’ai senti un coup par derrière ».
Elle a été attrapée alors, poussée au sol, et l’attaquant a mis sa main sur sa bouche, utilisant son autre main pour arracher ses vêtements et la violer.
Un ami de la femme âgée, Hans Vesely, 72 ans a dit : « Son chien qui avait 13 ans et n’a malheureusement pas protégé sa maîtresse pendant l’attaque.
La femme, a réussi à rentrer chez elle où elle a fermé la porte et a été retrouvée par une amie.
Vesely a dit : « Elle n’est pas la même femme depuis. Elle ne fait plus confiance à personne et ne laisse entrer personne à la maison, et elle est devenue très faible depuis l’incident ».
Sa fille a dit : « Elle connaît une fin terrible, quand je la regarde, ses yeux sont complètement vides, son corps n’est maintenant que de peau et d’os. Je savais que ça finirait comme ça, elle a perdu la volonté de vivre ».