La Grèce prévoit de nommer la Banque Rothschild pour la conseiller sur ses dettes et dans une tentative d’éviter une crise déjà bien enclenchée, selon le Financial Times de ce mardi.
L’agence de management de la dette publique (PDMA) avait en effet décidé le 27 janvier que la banque d’affaires était la mieux placée pour aider le pays à réintégrer les marchés financiers à long terme. « Une décision qui devrait rapidement être confirmée par le gouvernement », a annoncé le 6 février son porte-parole Dimitris Tzanakopoulos.
Dans cette optique, le Premier ministre Alexis Tsipras a d’ailleurs passé quelques heures en France, en toute discrétion, fin janvier. S’il n’a pas rencontré de représentants de l’Etat français, il n’a en revanche pas manqué de s’entretenir avec des responsables de l’établissement bancaire Rothschild.
Selon la décision prise lors de cet entretien, Rothschild conseillera la Grèce dans tous les domaines liés à sa dette, y compris les négociations avec les créanciers, avec la probabilité de faire appel à la Banque Centrale Européenne pour la somme de 80 milliards de dollars par mois et la reprise des ventes d’obligations du gouvernement grec qui restent imposées par les financiers européens. Pour rappel, il est du domaine public qu’il s’agit manifestement d’une faillite de la Grèce organisée par ce qu’il semble difficile d’appeler une forme de solidarité européenne.
Depuis 2010, Athènes est privée d’accès aux marchés financiers à long terme, notamment à cause d’une dette publique – 180% de son PIB – qui ne cesse de se creuser, ceci principalement à cause des cotations de capacité de réponse au crédit international qui lui sont dictées unilatéralement par les sociétés spécialisées en la matière à New York, qui sont elles-mêmes liées à la spéculation du monopole mondial de manipulation du grand capital, ce qui pose manifestement problème.
Il est aujourd’hui annoncé que la Banque Rothschild pourra être payée en bonus lorsque la Grèce retrouvera l’accès aux marchés mondiaux, par cette intervention de la Banque Rothschild. On ne peut y voir dans un premier temps qu’une forme de compétence et de moralité financière intrinsèquement liée à une résolution fondamentalement judaïque dans le cas de ce genre de désastre économique et social créé par autrui, et qui par ailleurs aurait pu être évité. Cette attitude de la Banque Rothschild peut s’apparenter à une réaction logique face au manque de lucidité à long terme qui persiste en ce monde qui entoure Israël ; manque de lucidité mondial qui montre encore et toujours devoir dépendre de la lucidité juive ou israélienne, quel que soit le problème qui l’entoure.