« Haïfa, c’est la Palestine » : deux jeunes musulmanes du nord dévoilent leur haine d’Israël sur Instagram
Nouveau scandale antisémite et anti-israélien sur les réseaux sociaux en Israël. Max Viper, créateur de contenu et figure de la hasbara (diplomatie publique israélienne), a publié mardi une vidéo devenue virale sur Instagram : une discussion avec deux jeunes musulmanes de Haïfa refusant de reconnaître Israël et déclarant sans détour que « Haïfa, c’est la Palestine ».
Au fil de l’échange, les deux jeunes femmes n’ont pas hésité à dire qu’elles « n’aiment pas les Israéliens » sous prétexte qu’« ils nous tuent ». Elles ont également affirmé ne pas vouloir cohabiter avec des Israéliens dans leur ville, ni reconnaître le caractère mixte de Haïfa. « Aucun véritable vivre-ensemble n’existe à leurs yeux », précise Viper. À plusieurs reprises, elles ont présenté la ville comme exclusivement palestinienne, rejetant toute réalité démographique ou politique actuelle.
L’entretien a provoqué une onde de choc parmi les internautes israéliens. De nombreux commentaires ont réclamé la divulgation de l’identité et du lieu de travail de ces jeunes femmes, afin de vérifier qu’elles ne sont pas employées à des postes sensibles ou dans la fonction publique. Certains ont exprimé leur colère contre les habitants de Haïfa qui, selon eux, « continuent à prôner le vivre-ensemble alors que dans leur propre voisinage, des gens refusent la simple existence d’Israël ». D’autres ont dénoncé la montée inquiétante de l’antisémitisme et de la haine anti-israélienne sur les réseaux sociaux.
Ce n’est pas la première fois que Max Viper attire l’attention sur de telles dérives. Il avait déjà déclenché une tempête internationale il y a quelques mois en exposant des soignants musulmans en Australie qui, dans une vidéo compromettante, menaçaient de s’en prendre à des patients juifs et israéliens. Suite à cette révélation, les individus impliqués avaient été suspendus et poursuivis pour incitation à la violence.
Interrogé par Israel Hayom, Viper a confié : « J’ai tenté de leur soutirer plus d’informations, notamment en leur demandant si elles travaillaient avec des Juifs ou si elles avaient des amis juifs, mais elles se sont affolées et ont coupé le chat immédiatement. »
Ce nouvel épisode souligne une fois encore la réalité d’un « ennemi intérieur », comme l’appellent certains commentateurs : une jeunesse arabe israélienne qui, dans certains cas, adopte un discours ouvertement anti-israélien et hostile au simple concept de coexistence. À Haïfa, réputée pour son caractère mixte et sa tradition de coexistence, ce genre de révélations résonne comme un signal d’alarme.
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