Le mensonge des médias arabes est persistant, et la Syrie a prit exemple sur le Liban et les palestiniens très doués pour désinformer,transformer et parfois inventer l’information contre Israël. Et donc, il est inévitable que dès qu’Israël intervient pour mettre en sécurité les civils israéliens en détruisant des armes qui pourraient mettre en danger Israël, la désinformation prend le devant.
En effet, Israël a visé comme cible militaire la ville de Damas, une accusation de la Syrie va suivre: Israël a utilisé de l’uranium appauvri pour ses obus. Le comble, lorsqu’on sait que tous les jours de nouvelles victimes jonchent les trottoirs de la Syrie tuées par des armes chimiques. Une information confirmé par les États Unis et Israël.
Selon la Syrie, Israël a utilisé des obus à uranium appauvri pendant l’attaque présumée en Syrie, ce dimanche, selon une source militaire syrienne annonce le site Russia Today.
« Lors de l’explosion, cela a été comme un tremblement de terre, puis un champignon doré géant de feu est apparu. Cela nous a indiqué qu’Israël a utilisé des obus à l’uranium appauvri, » a dit la source.
L’uranium appauvri est un sous-produit de la production d’uranium enrichi pour une utilisation dans les réacteurs nucléaires. Il est 2,5 fois plus dense que l’acier, ce qui lui permet de pénétrer plus profondément. Le matériau est connu pour être toxique, mais non radioactif.
Le haut fonctionnaire a minimisé l’importance stratégique des armes ciblées dans l’attaque, affirmant que les pertes militaires étaient « négligeables » et que le matériel a été déplacé sur le site de l’attaque après une attaque précédente au mois de janvier.
« L’objectif était juste un entrepôt d’armes ordinaires. Le bombardement est un ultimatum pour nous, il n’avait aucune motivation stratégique», a dit ce haut fonctionnaire syrien.
Une source de renseignement occidental a déclaré à Reuters que l’attaque visait « les stocks de missiles Fatah-110 en transit à partir de l’Iran vers le Hezbollah », alors qu’une source du Hezbollah a nié l’information sur le quotidien koweïtien Alrai, ce lundi.
Une autre source militaire syrienne de haut rang a déclaré au Times que des dizaines de soldats d’élites qui stationnaient près du palais présidentiel à Damas ont été tués dans l’attaque. Un médecin militaire syrien de l’Hôpital Tishreen a signalé qu’il y avait au moins 100 soldats tués et plusieurs dizaines d’autres blessés, selon le Times.