Israël accusé, humilié et diabolisé à l’étranger… mais continue d’espérer et de reconstruire : la preuve d’un peuple qui croit en la vie malgré ses ennemis

Le monde tourne à l’envers. Tandis qu’en Europe, aux États-Unis, en Asie et même dans certaines îles grecques, les touristes israéliens sont accueillis avec froideur, hostilité ou même violences verbales, sur la terre d’Israël, le rêve d’une Riviera à Gaza n’est pas mort. Oui, au cœur même de la guerre, les Israéliens continuent de rêver de paix et de normalité.

D’un côté, des campagnes de boycott, des appels à l’interdiction de navires israéliens dans les ports européens, des manifestations haineuses de soi-disant “solidarité avec Gaza” qui dégénèrent en actes antisémites. Les Israéliens sont traités comme des parias, leur drapeau déchiré dans les rues de Londres ou Paris, leurs artistes annulés dans les festivals, leurs athlètes hués sur les podiums.

De l’autre, des ingénieurs, des architectes, des urbanistes israéliens qui osent encore dessiner les contours d’un avenir meilleur, même pour Gaza. Leur crime ? Penser qu’une fois le Hamas éradiqué, une fois les armes réduites au silence, les plages de Gaza pourraient redevenir un lieu de vie, de tourisme, de coopération régionale.

Un rêve ? Oui. Mais un rêve israélien, car personne d’autre ne le formule.

Pendant que le Hamas creuse des tunnels sous les hôpitaux, cache ses roquettes dans les écoles et utilise les enfants comme boucliers humains, Israël continue de fournir eau, électricité, nourriture et soins médicaux aux civils gazaouis, au risque de sa propre sécurité.

Et pourtant, c’est Israël qu’on accuse d’apartheid. Israël qu’on traîne devant les tribunaux internationaux. Israël qu’on pointe du doigt comme le bourreau.

Quelle ironie ! Ceux qui appellent à “libérer Gaza” ne l’ont jamais visitée. Ceux qui prétendent défendre les Palestiniens ne manifestent jamais contre les crimes du Hamas, le viol des droits humains ou l’assassinat de dissidents dans la bande.

À Tel-Aviv, à Netivot, à Sdérot, à Jérusalem, on enterre nos soldats, on pleure nos enfants enlevés, on soigne nos blessés, mais on continue d’imaginer un lendemain. Un après. Une reconstruction.

Ce n’est pas de la naïveté. C’est une résistance. Israël résiste par l’espoir.

Et si la “Riviera de Gaza” est pour certains une utopie de gauche, elle est pour nous un objectif stratégique : montrer au monde, et à nos voisins arabes, que la paix est possible uniquement si l’ennemi dépose les armes, pas l’inverse.

Car Israël ne se bat pas pour conquérir, mais pour vivre. Pour respirer. Pour voir ses enfants grandir sans courir aux abris. Pour que demain ressemble un peu à la normalité.

Ce que les antisémites déguisés en “militants pro-palestiniens” ne comprennent pas, c’est que le peuple juif ne renoncera jamais à son droit à la vie, à sa terre, à sa sécurité.

Alors, que les boycotteurs crient. Que les faux humanistes pleurnichent. Nous, nous construirons.
Et peut-être qu’un jour, à la place des tunnels du Hamas, il y aura des hôtels.
Et à la place des boucliers humains, des cerfs-volants.
Mais ce jour ne viendra que lorsque nos ennemis seront vaincus.

Israël est là pour rester. Et pour reconstruire. Avec ou sans leur autorisation.

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