Les proches des personnes enlevées ont rencontré le Premier ministre qatari Mohammed al-Thani et ont souligné lors de la réunion la nécessité de livrer des médicaments à leurs proches.
Il y a actuellement 136 personnes enlevées à Gaza, dont 25 sont considérées comme mortes. Un rapport publié cette semaine par le siège des familles des personnes enlevées indique qu’environ un tiers d’entre elles souffrent de maladies chroniques et nécessitent des médicaments réguliers, sans lesquels leur vie est en danger immédiat.
Les militants du siège ont également déclaré que les otages sont soumis à des tortures mentales et physiques, notamment à des violences sexuelles, à la faim et à la soif, qui peuvent causer des dommages irréversibles à la santé et même entraîner la mort, de sorte que chaque jour de captivité les expose à un grave danger.
Selon le New York Times, citant des responsables, en échange de l’autorisation du transfert de médicaments aux personnes enlevées, Israël autorisera une augmentation du nombre de fournitures de médicaments dans la bande de Gaza. Selon l’ONU, la quantité de médicaments qu’Israël autorise actuellement à entrer dans la bande de Gaza n’est pas suffisante pour répondre aux besoins des habitants.
Des négociations sont également en cours avec des organisations internationales qui contribueront au transfert de médicaments.