Israël ferme la porte à Macron : la gifle diplomatique qui secoue l’Europe

La décision israélienne de fermer la consulat français à Jérusalem n’est pas un simple geste symbolique. C’est un acte de souveraineté clair, une mise au point face à un président français qui a choisi de courtiser Ramallah plutôt que de respecter l’un des plus vieux alliés de l’Europe au Moyen-Orient. Emmanuel Macron, qui aime se rêver en stratège planétaire, s’est retrouvé renvoyé à Paris avec un message limpide : on ne joue pas avec Jérusalem.

Selon des révélations publiées par Israël Hayom, la décision a été préparée en coulisses par le ministre des Affaires étrangères, Gideon Sa’ar, après des mois de provocations françaises : conférences en faveur d’une reconnaissance d’un État palestinien, messages directs transmis à Mahmoud Abbas par l’intermédiaire du consulat français, et une diplomatie parallèle ouvertement hostile à Israël. Bref, Paris a cessé de faire semblant.

En fermant cette représentation diplomatique, Israël adresse un signal clair à l’Union européenne : chaque pays qui franchira la ligne rouge en tentant d’imposer une reconnaissance unilatérale d’un pseudo-État palestinien paiera un prix concret. Ce n’est plus la rhétorique molle des communiqués. C’est une politique de rétorsion assumée.

Une gifle à Macron et une leçon pour Bruxelles

Le geste a été salué par une partie de la classe politique israélienne. Dan Illouz (Likoud) a applaudi une « réponse souveraine et courageuse » face à un président français « qui distribue des médailles aux terroristes ». Le mouvement Im Tirtzou a renchéri : « Ceux qui veulent soutenir le Hamas peuvent le faire à Paris, pas à Jérusalem ! ».

Cette fermeté fait écho à une exaspération croissante en Israël : Paris et Bruxelles se permettent d’exiger des concessions israéliennes alors même que l’État hébreu subit des attaques terroristes, des pressions médiatiques hostiles et une campagne internationale de délégitimation.

Quand Paris joue avec le feu

Macron, lui, persiste. Pour se donner une image de champion des droits humains (sélectifs), il envoie son consulat distribuer des messages politiques qui ne relèvent en rien de la mission diplomatique. Résultat : il s’est vu claquer la porte en plein visage.

Et qu’on se le dise : Israël ne cédera pas sur Jérusalem. Pas aux pressions européennes, pas aux conférences « humanistes », pas aux menaces voilées. Comme le rappelle l’histoire, la France n’a pas hésité à collaborer avec le pire du pire, et sa leçon de morale aujourd’hui est tout simplement grotesque.

Le message à l’Union européenne

La fermeture de la consulat est une première étape. Elle vise à décourager d’autres pays de l’UE – comme l’Espagne, l’Irlande ou la Belgique – qui s’agitent déjà pour suivre la ligne pro-palestinienne. Si Paris a perdu son siège, qu’adviendra-t-il de Lisbonne, de Rome ou de Berlin si elles franchissent la même ligne rouge ?

Cette fois, Israël a décidé de faire payer un prix réel à ceux qui confondent politique étrangère et militantisme anti-israélien. C’est un avertissement : Jérusalem n’est pas à vendre.


✅ Pour suivre l’actualité israélienne sans filtre :

🔗 Sources d’autorité : Hamas – Wikipédia, Accords d’Abraham – Wikipédia, Trump et le Moyen-Orient – Wikipédia.

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