Le Ministère de la protection de l’environnement en Israel s’engage à suivre le protocole de l’ONU sur la pollution atmosphérique et s’engage à accorder l’accès du public aux données sur les émissions transparentes.
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Le traité sur l’environnement a pour but « d’améliorer l’accès du public à l’information par l’établissement de registres cohérents, et l’information et le suivi des transferts polluants. » Selon la Commission économique des Nations Unies pour l’Europe (CEE-ONU), il est le premier outil international juridiquement contraignant à cet effet. Le Protocole de Kiev exige une liberté d’exercice du gouvernement mais aussi une transparence en ce qui concerne les données d’émissions .
En exigeant la transparence, au lieu de réglementer la production des émissions, ce protocole va limiter les dechets des entreprises qui voudrons éviter la honte d’être les plus gros pollueurs . Le protocole entrera en vigueur en Israël le 14 Avril selon le porte-parole de l’ONU Farhan Haq :
« Le secrétaire général félicite outres les ratifications et adhésions aux traités déposés auprès de lui, y compris le Protocole de Kiev», at-il dit. « En signant le traité sur l’environnement, Israël se joindra au 36 pays, en plus de l’Union européenne, qui ont individuellement signé le protocole ».
Les membres de Kiev jusqu’à présent au Protocole sont: l’Arménie, l’Autriche, la Belgique, la Bosnie-Herzégovine, Bulgarie, Croatie, Chypre, République tchèque, Danemark, Estonie, Finlande, France, Géorgie, Allemagne, Grèce, Hongrie, Irlande, Italie, Lettonie, Lituanie , le Luxembourg, les Pays-Bas, Norvège, Pologne, Portugal, République de Moldova, Roumanie, Serbie, Monténégro, Slovénie, Suède, Suisse, Tadjikistan, la Macédoine, l’Ukraine et le Royaume-Uni.
Israël est le deuxième pays au Moyen-Orient , après Chypre, à adhérer au protocole. La décision coïncide également avec les droits d’Israël en tant que membre de l’OCDE.