Le Bureau central des statistiques d’Israël (CBS) a publié les chiffres du salaire moyen brut mensuel pour le mois de janvier 2025, mettant en lumière les professions les moins rémunératrices du pays.

Hôtellerie et restauration : en bas de l’échelle salariale

En tête des professions les moins bien payées figure le secteur de l’hôtellerie et de la restauration, avec un salaire moyen de seulement 6 570 shekels par mois (environ 1 600 €). Ce revenu représente à peine la moitié du salaire minimum israélien.

Juste au-dessus, on trouve les services divers (6 909 shekels) et les secteurs de l’art, du divertissement et des loisirs, avec un salaire mensuel moyen de 7 964 shekels.

Autres secteurs en difficulté

Même d’autres branches importantes restent en dessous de la moyenne nationale, qui s’élève à 13 419 shekels :

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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  • Construction : 12 754 shekels
  • Commerce de gros et de détail, réparation automobile : 11 146 shekels
  • Éducation : 9 901 shekels
  • Agriculture, sylviculture, pêche : 9 856 shekels
  • Santé et services sociaux : 9 269 shekels
  • Services de gestion et de soutien : 8 486 shekels

La haute technologie en tête

À l’autre extrême, le secteur de la haute technologie (high-tech) affiche une santé éclatante avec un salaire moyen de 31 338 shekels en janvier 2025, marquant une hausse de 4,6 % par rapport à janvier 2024. Le nombre de postes dans ce secteur était de 400 200, représentant près de 10 % de tous les emplois salariés en Israël.

Le plus gros employeur : les entreprises non financières

Le plus grand secteur de l’économie reste celui des entreprises non financières, qui regroupe 63 % des postes salariés avec 2,562 millions d’emplois. Le salaire moyen dans ce secteur était de 14 919 shekels.