« Les manifestations de l’opposition qui ont eu lieu en Iran en juin 2009 (après la réélection contestée du président Mahmoud Ahmadinejad) vont revenir avec plus de force », selon M. Lieberman sur Haaretz. « Il va y avoir une révolution de la place Tahrir à la mode iranienne », comme ce fut le cas lors de la chute du président égyptien Hosni Moubarak en février 2011.
La monnaie iranienne est en déclin et son pays en situation de « catastrophe économique »et la pénurie de biens de première nécessité entraînera forcément une hausse de la criminalité avec la fuite de la population vers d’autres pays.
La réaction est similaire pour le ministre israélien de l’Economie Yuval Steinitz anonçant que l’économie est sur le point de s’effondrer : « Les sanctions infligées à l’Iran ont franchi un seuil l’an dernier. Elle ne s’effondre pas, mais elle est sur le point de le faire. Le manque à gagner concernant les revenus pétroliers approchera les 45 à 50 milliards de dollars à la fin de l’année », a-t-il ajouté.
