Par la rédaction – Juin 2025
Depuis plusieurs jours, les tensions entre Israël et l’Iran atteignent un point critique. Alors que la communauté internationale reste timide, et que de nombreux médias étrangers évitent de montrer l’ampleur des menaces, Tsahal a lancé une série de frappes ciblées en réponse à l’agression iranienne. Cette riposte n’est pas seulement militaire : elle est stratégique, psychologique, et surtout profondément légitime.
🎯 Une attaque iranienne sous-estimée à l’étranger
L’Iran a lancé la semaine dernière une salve de plus de 80 missiles balistiques et drones kamikazes contre le territoire israélien. Beersheba, Haïfa, Nof HaGalil et le centre du pays ont été visés. Des civils ont perdu la vie, plusieurs immeubles résidentiels ont été détruits, et des centaines de milliers de citoyens ont dû se réfugier dans les abris.
Et pourtant, dans certains médias occidentaux, cette attaque a été reléguée en fin de journal, parfois même absente des éditions. Le New York Times a titré sur la « réponse israélienne disproportionnée » avant même de mentionner les victimes. Sur CNN, on a parlé de « clashs régionaux », sans oser nommer le commanditaire : l’Iran.
🛫 Une réponse chirurgicale et maîtrisée
Face à cette agression, Israël a répondu avec ce qu’elle sait faire de mieux : la précision. En 24 heures, Tsahal a visé :
- des centres de commandement des Gardiens de la Révolution à Téhéran,
- des bases de drones à Yazd et Qom,
- un entrepôt souterrain soupçonné d’abriter du matériel nucléaire.
L’aviation israélienne a pénétré l’espace aérien iranien par l’ouest, contournant les systèmes de défense avec une coordination digne des plus grandes opérations militaires. Plusieurs analystes évoquent l’utilisation combinée de brouillage électronique, drones leurres et satellites de repérage thermique.
📉 L’Iran surpris, affaibli, mais pas encore vaincu
La rapidité et la violence de la réponse israélienne ont pris de court les autorités iraniennes. Plusieurs sources à Téhéran parlent de chaos interne, d’arrestations de responsables militaires pour « incompétence » et d’une panique grandissante dans les quartiers populaires.
Mais l’Iran reste dangereux. Les Brigades Al-Qods pourraient activer des cellules en Syrie, au Liban ou en Cisjordanie. Les missiles Shahab sont toujours opérationnels. Et le programme nucléaire, bien que ralenti, n’est pas entièrement neutralisé.
📡 Une guerre d’image… que l’Iran ne veut pas perdre
Dans cette guerre, l’arme la plus puissante après les missiles, c’est la communication.
L’Iran tente de convaincre le monde qu’Israël est l’agresseur, en diffusant des images de ruines civiles — parfois fausses, parfois sorties de contextes syriens ou yéménites.
Mais la réalité, c’est qu’Israël agit en légitime défense. Aucun pays au monde n’accepterait que ses citoyens soient tués dans leurs salons, que ses villes soient prises pour cible par un régime théocratique et antisémite, et que la menace nucléaire soit si proche de devenir réalité.
🛑 Silence en Europe, leadership américain en attente
Si les États-Unis, sous l’impulsion de Donald Trump, soutiennent pleinement la réponse israélienne, l’Union européenne, elle, reste silencieuse. Certains dirigeants évoquent une « désescalade nécessaire »… alors qu’Israël vient simplement de neutraliser une menace existentielle.
Ce double standard est révoltant. La démocratie israélienne est la cible. Et ceux qui croient que le conflit ne les concerne pas se trompent lourdement : l’Iran finance aussi le Hezbollah, le Hamas, et multiplie les cyberattaques contre l’Occident.
💬 Le mot de la fin : lucidité, unité, et vérité
Israël ne cherche pas la guerre. Mais Israël ne reculera jamais devant ceux qui veulent la faire disparaître. La riposte de ces derniers jours est une leçon de stratégie, de retenue et de justice.
Ce que vous ne verrez pas sur CNN, vous le lirez ici : Israël se bat pour vivre. Pour défendre ses enfants. Et pour que la liberté triomphe.
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