Israël seul contre tous : otages oubliés, Gaza nourrie, et l’Occident en marche vers la trahison

Alors que les sirènes d’alerte retentissent à Jérusalem et Tel-Aviv en raison de nouveaux tirs de missiles depuis le Yémen, et que Tsahal découvre une méga-tunnel de 15 mètres de profondeur rempli d’armes dans Khan Younès, un autre combat – plus sournois, plus douloureux – se déroule sur la scène internationale : l’abandon progressif d’Israël par une partie de l’Occident au profit d’un État palestinien fantasmé, construit littéralement sur les ruines d’otages enterrés vivants.

Le constat est implacable : dix nouveaux pays ont annoncé leur intention de reconnaître un État palestinien lors de la prochaine Assemblée générale de l’ONU en septembre. Parmi eux : le Canada, la Finlande, la Nouvelle-Zélande, l’Australie ou encore le Portugal. Après la France et la Grande-Bretagne, c’est désormais une vague diplomatique coordonnée qui tente d’imposer un fait accompli : la création d’un État dirigé en sous-main par le Hamas, organisation toujours qualifiée de terroriste par la même Europe qui veut l’ériger en partenaire.

Le ministre qui préfère conquérir Gaza que sauver les otages

Dans ce climat tendu, les déclarations du ministre israélien Amichaï Eliyahou (Otzma Yehudit) ont créé une onde de choc.

« Les otages ? Il faut les appeler des prisonniers de guerre. Et s’en occuper à la fin. La mission prioritaire, c’est de conquérir Gaza. »

Des propos qui ont été immédiatement dénoncés, à juste titre, par l’opposition. L’ancien Premier ministre Yair Lapid a fustigé une phrase qui, selon lui, révèle le mépris stratégique d’une partie du gouvernement pour les 50 otages encore détenus dans les tunnels de Gaza depuis plus de 663 jours. Le général Yair Golan, lui, accuse carrément la coalition de vouloir sacrifier les otages au profit d’un projet messianique de recolonisation de la bande de Gaza.

Car c’est bien cela que certains députés de droite préparent : 22 membres de la coalition ont sollicité le ministre de la Défense pour effectuer une visite dans le nord de Gaza en vue de futures implantations juives. Une perspective qui fait froid dans le dos, alors même que des enfants, des femmes, des soldats, sont encore enchaînés dans les tunnels du Hamas, parfois sans contact depuis des mois.

L’Europe complice d’un chantage

Pendant ce temps, la Grande-Bretagne et la France maintiennent leur chantage politique contre Israël, en liant de manière indécente la situation humanitaire à Gaza avec la reconnaissance d’un État palestinien. Le tout, sans exiger la libération préalable des otages. Pire encore, l’Union européenne envisage de suspendre partiellement la participation d’Israël au programme scientifique Horizon, sous pression d’États comme l’Irlande, l’Espagne, le Luxembourg ou encore la France.

Et que dire du dernier scandale médiatique ? Le New York Times, qui avait illustré un article sur la famine à Gaza avec la photo d’un bébé mourant, a dû se rétracter après qu’il a été prouvé que l’enfant souffrait en réalité d’une maladie génétique sans aucun lien avec la guerre. Une manipulation émotionnelle qui a, une fois de plus, déclenché une vague de haine contre Israël avant de disparaître dans un discret correctif.

Humanitaire pour Gaza, mais pas pour les otages ?

Dans une ironie glaçante, alors que Tsahal identifie des tunnels remplis de roquettes et de RPG, et que les populations israéliennes courent vers les abris suite à un tir de missile intercepté par les systèmes Hets et THAAD, le gouvernement israélien annonce l’augmentation du volume d’aide humanitaire vers Gaza.
Oui, plus de nourriture, plus de médicaments, plus de carburant… vers le Hamas.
Pendant ce temps, aucun colis, aucun contact, aucune visite pour les otages dans les tunnels.

Le sénateur américain Tom Cotton, l’un des rares alliés constants d’Israël, a été clair :

« Israël n’a aucune obligation de fournir la moindre aide à Gaza. Le monde utilise deux poids deux mesures. »

Et pendant que les élites européennes organisent leur conférence de presse sur « l’État palestinien », les familles des otages pleurent leurs enfants, sans réponse, sans stratégie claire, et désormais sans voix dans le concert diplomatique mondial.

Pendant ce temps, en Iran et au Liban…

Des incendies mystérieux continuent de ravager des installations sensibles à Téhéran, comme ce site énergétique visé déjà lors d’une frappe israélienne récente. En Irak, le chef du Corps Al-Qods a rencontré pendant 10 heures les milices pro-iraniennes pour coordonner les prochaines phases de déstabilisation, pendant qu’Israël est encore sommé de contenir ses réactions.

Même les États-Unis ont posé un ultimatum clair au Liban : pas de désarmement du Hezbollah = pas de négociation. Mais à Paris, Berlin et Londres, on préfère apparemment discuter cartes, frontières et lignes vertes, plutôt que de regarder la réalité rouge sang des otages enterrés vivants.


Conclusion :

À quelques semaines d’un sommet à l’ONU qui pourrait rester dans l’histoire comme le Munich diplomatique de 2025, une certitude demeure :

toute reconnaissance d’un État palestinien sans libération des otages n’est pas seulement une faute morale, c’est une complicité active avec le terrorisme.


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