Israël est en pourparlers avec AstraZeneca pour annuler le contrat de fourniture de vaccins. En vertu d’un accord signé au plus fort de la pandémie l’année dernière, la société anglo-suédoise doit fournir à Israël 10 millions de doses.
Hier, il a été annoncé qu’il avait signé un contrat avec Pfizer pour fournir à Israël 13 millions de doses pour une deuxième campagne de vaccination plus tard cette année.
Israël est pressé de se débarrasser du vaccin AstraZeneca, qui s’est avéré très problématique en termes d’effets secondaires. L’Agence européenne des médicaments a rapporté hier qu’il y avait eu 300 cas de thrombose dans le monde suite à l’utilisation de vaccins contre les coronavirus. 287 d’entre eux sont chez AstraZeneca, 25 chez Pfizer, 8 Johnson & Johnson et 5 Moderna.
La radio Galei IDF a diffusé aujourd’hui qu’AstraZeneca s’oppose à l’annulation du contrat israélien car cela pourrait nuire gravement à son prestige. Des sources bien informées ont déclaré à la station de radio qu’elle envisageait de vendre des doses d’AstraZeneca à un ou plusieurs pays. Ainsi, il sera possible d’éviter les gros titres scandaleux de la presse mondiale, et Israël ne perdra pas d’argent.
Ils disent que cette option présente également des difficultés juridiques. Par exemple, on ne sait pas qui sera à blâmer si des accidents tragiques se produisent.
Presque chaque jour, les médias mondiaux font état de nouveaux cas de thrombose après des injections du vaccin anglo-suédois. De nombreux pays ont gelé son utilisation et tentent de se débarrasser de millions de doses achetées.
Le Danemark a été le premier pays européen à annoncer son retrait complet d’AstraZeneca la semaine dernière et continuera d’utiliser uniquement Pfizer et Moderna. Le pays dispose d’environ 200 000 doses du vaccin britannique et, comme l’a rapporté hier Le Figaro, Copenhague a volontiers accepté de «prêter» 55 000 doses à l’Allemagne voisine. En Allemagne, il est recommandé de vacciner les personnes de plus de 60 ans avec AstraZeneca.