L’épopée d’essayer d’exporter du cannabis médical à travers le monde semble toucher à sa fin. Israël devrait être en mesure d’obtenir un bénéfice d’un milliard de dollars par an.
Le fait que le chanvre médical soit un excellent produit d’exportation fait l’objet d’une longue débat. Le climat d’Israël est extrêmement favorable à la culture de cette plante.
Au printemps de cette année, tout était prêt pour lancer le programme, 300 agriculteurs ont acheté une licence et des représentants de tous les départements, du ministère des Finances au ministère de la Justice, du Ministère de la Santé et du Ministère de la Sécurité intérieure, ont soutenu le développement de la production de cannabis destiné à l’exportation et ont parlé des perspectives prometteuses pour faire d’Israël un fournisseur mondial de marijuana à des fins médicales. Netanyahu a mis fin au programme approuvé à l’unanimité et a ordonné la création d’une nouvelle commission chargée de la réviser, sans en expliquer les raisons.
Le dernier jour de l’existence de l’actuelle Knesset, les députés ont voté en faveur de la loi sur l’exportation, que le cabinet doit approuver.
21 sur 120 ont voté pour l’exportation de cette « mauvaise herbe », mais toutes « pour », que les champs de cannabis soient dans le désert d’Arava.
Si cette fois, il n’y aura pas de retard, alors, dans six mois, Israël pourrait devenir le troisième pays du monde après le Canada et les Pays-Bas, qui exportent du cannabis à des fins médicales.
Photo: de: Benutzer: Michael_w