« Je condamne, mais n’oublie pas » – Par David Taieb

Je n’oublie pas Eyal, Guilad, Naphtali, kidnappés et assassinés.

Je n’oublie pas Sheli Dadone tuée par un arabe à coups de couteau près d’Afula, alors qu’elle se rendait à un entretien d’embauche près de Afula.

Je n’oublie pas Baroukh Mizrahi tué par des arabes près de Hevron qui ont tiré sur son véhicule dans lequel se trouvaient aussi sa femme et son enfant de 9 ans, alors qu’ils se rendaient au Seder de Pessa’h.

Je n’oublie pas Tomer Hazan serveur qui travaillait à Bat Yam, mort pour avoir accepté l’invitation de son collègue arabe, qui le tuera et le jettera dans un puits.

Je n’oublierai jamais la famille Fogel et ses enfants égorgés dans leur sommeil par des arabes. Je n’oublie pas les assassinats perpétrés contre nos enfants à Paris, Toulouse, Bruxelles…

Je n’oublie pas tous ceux que je ne cite pas et que je pourrais rajouter.

Je n’oublie pas les milliers de roquettes constamment tirées sur notre population, les destructions, les attaques de nos familles qui conduisent sur les routes, les attentats, les lynchages, et tout ce qu’ils font pour nous voir morts.

Je n’oublierai pas que la haine de ceux qui nous attaquent et leurs soutiens, n’est pas due à 6 des miens qui ont choisi de foutre leur vie en l’air et qui ne seront pas libérés sous peu comme on libère ceux qui nous assassinent.

La haine de nos ennemis a toujours été là, et sera encore là tant que nous existerons, parce qu’un Juif qui respire indépendant sur sa terre est le pire des affronts qu’on puisse leur faire.

Je n’oublierai pas non plus le jeune Mohammed en question qui se réjouit du kidnapping et de la mort de nos 3 enfants.

Par David Taieb pour Alyaexpress-News

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