« Je voulais mourir shahida en tuant Netanyahou » : une militante d’extrême gauche inculpée pour tentative d’assassinat terroriste

Israël est à nouveau confronté à un phénomène aussi inquiétant que délirant : le terrorisme made in gauchisme israélien. Ce jeudi, une femme de 73 ans, militante radicale contre le gouvernement, a été formellement inculpée pour tentative de meurtre à caractère terroriste contre le Premier ministre Benyamin Netanyahou. Selon l’acte d’accusation présenté au tribunal de Tel Aviv, cette septuagénaire, atteinte d’une maladie incurable, a prémédité l’assassinat du chef du gouvernement, allant jusqu’à chercher un lance-roquettes RPG pour mettre à exécution son projet.

« J’étais prête à mourir shahida. C’est mon sacrifice pour sauver Israël du régime actuel. »

Des propos glaçants, dignes d’un manuel du Hamas. Sauf qu’ici, ce n’est pas un terroriste palestinien, mais une citoyenne israélienne juive, militante d’extrême gauche, qui rêvait d’un attentat politique pour « mettre fin à ses jours en emportant avec elle un symbole du pouvoir ».

Un scénario de film noir… devenu réalité

Selon le parquet, tout a commencé après le diagnostic de sa maladie terminale. La femme, vivant à Tel Aviv, décide que son dernier acte « pour la patrie » serait d’éliminer Netanyahou. Elle organise plusieurs réunions secrètes avec d’autres militants anti-gouvernementaux, dans lesquelles elle expose froidement son projet : assassiner le Premier ministre à l’aide d’un RPG.

Elle demande assistance à un autre activiste pour localiser les dispositifs de sécurité autour de Netanyahou, et cherche activement une arme lourde. Elle prend même soin de laisser les téléphones hors de portée lors des rencontres, afin de ne pas laisser de traces. Du Mossad amateur version gauchiste.

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La tentative de putsch version gauchiste ?

Dans un contexte tendu où les manifestations contre le gouvernement se poursuivent sur fond de guerre avec le Hamas et de pression internationale, cet événement révèle l’ampleur de la radicalisation dans les cercles de la gauche israélienne. Certains n’hésitent plus à franchir la ligne rouge, flirtant dangereusement avec le terrorisme politique.

Cette affaire vient rappeler que la haine de Netanyahou, entretenue par une partie de la presse, des ONG et de certains élus, a nourri un climat délétère où la violence devient acceptable, voire justifiable.

Le rêve de certains manifestants ? « Un printemps israélien », façon Tahrir ou Beyrouth. Le problème ? Israël est une démocratie, pas une dictature arabe.

Elle voulait mourir en martyr : la version gauchiste du djihad

Dans ses aveux, la suspecte a évoqué son désespoir face à la situation politique, sa « volonté de mourir en faisant quelque chose de grand ». Elle ne cache pas son admiration pour les gestes extrêmes. Un discours qui rappelle, mot pour mot, la rhétorique islamiste des kamikazes du Hamas : mourir pour une cause, éliminer un symbole honni, devenir un nom dans l’histoire…

Mais ici, le discours est en hébreu, déguisé en activisme « éclairé ». Ce n’est plus « Allahu Akbar » mais « sauver Israël de Netanyahou ». Même folie, même logique.

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Un autre terrorisme, plus sournois, tout aussi dangereux

Le terrorisme islamiste tue avec des bombes et des balles. Le terrorisme gauchiste, lui, infiltre les institutions, manipule les esprits, et peut aussi frapper physiquement, comme le prouve cette affaire. En 2025, les menaces contre les responsables israéliens ne viennent pas seulement de Gaza ou de Téhéran, mais aussi de Tel Aviv nord, d’anciens soixante-huitards désespérés, ou d’ex-militants anarchistes en errance idéologique.

La justice a logiquement demandé la prolongation du placement en résidence surveillée stricte de l’accusée, estimant que son projet est encore viable et qu’elle pourrait s’en prendre à d’autres responsables de l’État.

Cette fois, c’est Netanyahou. La prochaine fois ? Le ministre de la Défense ? Le chef du Mossad ? Le président ?


Et les médias ? Silencieux, gênés… complices ?

On remarquera l’absence totale de réaction de la part des grands médias israéliens et des ONG habituellement si promptes à dénoncer les discours violents. Une tentative d’assassinat du Premier ministre ? Circulez, y’a rien à voir… En revanche, si c’était un colleur d’affiches de droite qui avait brandi une menace verbale, les JT auraient été en boucle depuis 48 heures.

Ce deux poids deux mesures médiatique est un des piliers de la déstabilisation d’Israël de l’intérieur.

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