Keith Siegel s’est adressé au président des États-Unis, Donald Trump, déclarant :
« J’ai vu des tortures dignes du Moyen Âge qui me hantent encore. Il faut ramener tout le monde. »

Les survivants de captivité Naama Levy, Keith Siegel, Omer Shem Tov, Yair Horn et Doron Steinberger, ainsi que des représentants des familles des otages — Roy Baruch, frère d’Uriel Baruch ; Varda Ben Baruch, grand-mère d’Idan Alexander ; et Eilat Semrano, mère de Yonatan Semrano — ont fait ce soir (lundi) une déclaration à la presse internationale à l’occasion des 100 jours de mandat du président Trump.

À la fin des déclarations en anglais, Doron Steinberger a pris la parole en hébreu pour évoquer les efforts en vue du retour des otages.

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Keith Siegel a déclaré :
« J’ai vu des tortures dignes du Moyen Âge qui me hantent encore. Il est impératif de ramener tout le monde. »
Il a ajouté :
« Je presse le président Trump de maintenir son engagement : faire pression, relancer les négociations et conclure un accord avant qu’il ne soit trop tard. »

Naama Levy, observatrice kidnappée depuis Nahal Oz et libérée par la suite, a déclaré :
« J’ai été traînée violemment sous les yeux du monde entier et jetée dans la jeep des terroristes. On ne m’a pas traitée comme un être humain, mais comme un butin de guerre. Durant chacun des 477 jours interminables de captivité, je me suis accrochée à un seul espoir : revoir ma famille. »

Doron Steinberger a ajouté :
« J’ai été libérée de la captivité du Hamas un jour avant l’investiture du président Trump, et ce n’était pas une coïncidence. Nous nous tenons ici aujourd’hui pour faire appel au président Trump, qui a permis l’accord menant à notre libération. Nous lui demandons de continuer tous ses efforts pour parvenir au plus grand accomplissement possible aujourd’hui : la libération de tous les otages. »

Elle a également précisé :
« Mais je tiens aussi à rappeler : la responsabilité du retour de tous les otages incombe à mon pays et à mon gouvernement. C’est leur devoir.
Les rapports citant « des sources haut placées » nous inquiètent beaucoup. Les otages n’ont pas de temps à perdre. Ils sont en danger clair et immédiat – les vivants risquent leur vie et les morts risquent de disparaître.
Le gouvernement doit présenter un plan clair et expliquer ce qu’il est prêt à faire pour ramener les 59 otages chez eux. Maintenant. »