Un incident à Kfar Saba fait monter les enchères aux sein de la gauche qui a été raconté dans un post Facebook  ce qui s’est passé chez des propriétaires d’un café situé au 16, rue Chernichovsky à Kfar Saba.

Lundi, les propriétaires n’ont pas ouvert l’établissement car ils étaient en grève et se sont rendus à une manifestation à Jérusalem. Il y avait un avis dans le café à ce sujet.

À leur retour, il y avait un autre pancarte  sur la porte – un poing dans une étoile de David sur fond jaune, le signe de la LDJ, avec l’inscription : « Nous n’achetons pas à ceux qui manifestent contre le gouvernement ».

Un des commentaires du Post de Ronit Dorit :

La journaliste Ronit Dorit du journal Calcalist (site tres intéressant sur l’econoie israélienne) a fait sa propre interprétation :

 » Les parents d’un bon ami à nous, Noam Brosh , possèdent un café à Kfar Saba. Hier, ils n’ont pas ouvert le commerce parce qu’ils sont allés à Jérusalem pour manifester. Laissez une note solide sur la porte. Ce matin, cette chose les attendait sous la porte du café. Je ne veux pas écrire ici ce que cette chose me rappelle, toute personne sensée avec des yeux peut voir et comprendre par elle-même. Il n’y a rien à ajouter. Je ne poste généralement pas sur mon Facebook, mais à Kfar Saba,  il y a un excellent café et des pâtisseries à « Israela », 16 rue Tschernihovski. Essayez-le et vous ne serez pas déçu »

La LDJ est la branche française fondée en 2000 d’un mouvement néosioniste créé à New York, aux États-Unis par Meir Kahane, elle est considérée par certains comme extrémiste et violente (en raison d’échauffourées et d’agressions entre ses membres et diverses personnes) et comme à l’extrême droite des instances représentatives juives françaises, sans en faire partie. Les positions des organisations communautaires juives françaises à l’égard de ce mouvement vont de la condamnation à des positions plus nuancées.