Le Pikoud Aoref lancera en mai un changement du système d’alerte national, qui comprendra une extension des 260 zones d’alerte existantes à 1 800 zones, dans le cadre d’un plan visant à prévenir des beaucoup plus d’israéliens.

C’est un système qui segmentera le plus précisément possible les zones d’habitations des utilisateurs, en fonction de leur situation actuelle, de manière à ce que l’avertissement parvienne uniquement aux utilisateurs proches de la zone dangereuse.

Selon le lieutenant-colonel Shlomi Maman, chef de la division alerte et commandement et contrôle du Home Front Command, l’augmentation du nombre de zones d’alerte permettra, par exemple, de définir l’aéroport Ben Gourion comme une zone en soi, sans déranger les résidents voisins de Yehud. Et dans les hauteurs du Golan (actuellement divisées en neuf zones, chacune comprenant 10 à 15 localités), presque chaque localité recevra sa propre zone d’alerte.

Les avertissements atteindront aujourd’hui les citoyens, dans tous les médias possibles : à la radio et à la télévision, dans l’application Home Front Command pour smartphones, sur des sites Internet, etc.

Pendant ce temps, de nombreux citoyens se sont plaints du fait que de nombreuses applications privées ont cessé de fonctionner en raison du durcissement des conditions définies par le Home Front Command pour accéder au système d’alerte du système pour les applications qui rivalisent avec l’officiel.

Dans un article publié par l’un des surfeurs, Harel Lev, il explique que l’application Home Front Command n’est pas conviviale et que de nombreux utilisateurs ne sont même pas au courant du changement.

Les FDI ont expliqué que le durcissement de l’approche des applications civiles vis-à-vis du système d’alerte résultait d’un excédent de fausses alarmes et d’une tentative de mieux surveiller les applications sur le marché.