Le tribunal de Paris a jugé qu’une citoyenne algérienne qui a refusé de serrer la main d’un fonctionnaire de l’immigration ne pouvait pas achever le processus de naturalisation.
Le tribunal de Paris a pris une décision sans précédent pour obtenir la citoyenneté d’une femme algérienne après avoir refusé de serrer la main du fonctionnaire pour des raisons religieuses. Dans sa décision, la Haute Cour de Paris a jugé que la conduite de la femme «dans le lieu et dans la position à laquelle elle participait était symbolique et atteste d’un profond manque de conscience des valeurs de la société française».
La femme, dont le nom n’a pas été autorisé pour la publication, a épousé un citoyen français en 2010 en Algérie et a demandé la nationalité française deux ans plus tard. Lors de la cérémonie de citoyenneté de la femme, qui s’est déroulée dans la ville de Grenoble en 2016, elle a refusé de serrer la main d’un fonctionnaire de l’immigration et d’une personnalité publique élue de la municipalité.
La religion de la femme n’a pas été mentionnée dans la décision, mais en raison de ses origines, il est raisonnable de supposer qu’il s’agit d’une femme musulmane pieuse.
La femme en question qui a fait appel de la décision, a qualifié cette décision d’abus de pouvoir et demandé son annulation. Toutefois, les autorités compétentes, ont rejeté la demande d’appel de la décision et souligné que la décision était juste.
Juste une précision, il n’est pas interdit de serrer la main d’un non juif pour les Juifs pieux.
[…] La France a refusé la citoyenneté francaise à une algérienne pour … Infos-Israel.News (Communiqué de presse)Pas de nationalité française pour une Algérienne « rebelle » BBC AfriqueFull coverage … en lire d’avantage […]
Bonjour, merci de ne pas tout mélanger. La réponse référent de torah box concerne une généralité deux personnes de même sexe. Il est dans le cas contraire , il est formellement interdit de serrer la main à une personne du sexe opposé, juive ou non juive d’ailleurs. Merci de rectifier, ou défaut de demander la halakha avec une cheela précise avant de rectifier. Jai travaille avec des goyim j’ai fais le tour de la question. Kol touv