La France menace Israël : un discours moralisateur en pleine guerre contre le Hamas

Alors que la situation humanitaire dans la bande de Gaza fait l’objet d’instrumentalisations médiatiques quotidiennes, le ministère français des Affaires étrangères a publié ce mercredi une déclaration officielle fustigeant la politique israélienne de défense dans l’enclave terroriste.

Dans un ton digne d’un sermon d’église plus que d’une analyse stratégique, la France de Macron a appelé Israël à « respecter le droit international », à « lever les restrictions sur l’aide humanitaire » et à « laisser entrer la presse internationale librement ». Rien que ça.

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Une critique alignée sur le narratif du Hamas ?

Dans sa déclaration, Paris accuse le blocus israélien d’être responsable de la crise humanitaire à Gaza. Encore une fois, aucune mention du Hamas, qui a pourtant détourné l’aide humanitaire, stocké des armes dans des hôpitaux, utilisé la population comme bouclier humain, et refusé toute proposition de cessez-le-feu.

La diplomatie française va même plus loin : elle condamne les tirs de Tsahal sur des groupes de Palestiniens « venus chercher de l’aide humanitaire », sans mentionner que de nombreux événements sont utilisés par le Hamas pour couvrir des opérations armées, ou que les cargaisons sont parfois pillées par les hommes du groupe terroriste.

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Israël riposte : « Déconnecté de la réalité »

Le ministère israélien des Affaires étrangères n’a pas tardé à réagir :

« La déclaration française est totalement déconnectée de la réalité et envoie un mauvais message au Hamas, qui est le seul responsable de la guerre actuelle et du refus obstiné de tout accord sur les otages ou le cessez-le-feu. »

« Il existe une proposition concrète de trêve. Israël l’a acceptée plusieurs fois. Le Hamas, lui, s’y refuse, préférant alimenter les tensions et mentir au monde. »


Et les journalistes d’AFP ? Otages d’une propagande ?

L’Agence France-Presse (AFP) a elle aussi rejoint la chorale des alarmes humanitaires. Son syndicat SDJ a affirmé que ses journalistes à Gaza sont en train de mourir de faim, dans un communiqué au pathos soigneusement calibré :

« Depuis notre fondation en 1944, jamais nous n’avons vu un collègue mourir de faim. »

Mais derrière cette indignation, aucune interrogation sur la présence de journalistes en zone de guerre contrôlée par une organisation terroriste, ni sur le rôle trouble que certains “freelance” de Gaza ont joué par le passé dans la communication du Hamas.


Hypocrisie diplomatique à la française ?

Paris dénonce le « ruissellement insuffisant » de l’aide humanitaire, mais se garde bien de dénoncer les tunnels souterrains pleins de vivres, de carburants et d’armes mis à jour par Tsahal depuis des mois. Le Hamas a même tiré sur ses propres civils pour empêcher l’aide d’arriver via les couloirs israéliens – mais visiblement, cela ne trouble pas les rédacteurs de la rue de Grenelle.

Et pendant que la diplomatie française exige la liberté d’accès pour les ONG et les médias, aucune ONG française ne réclame la libération immédiate des otages israéliens détenus dans les sous-sols de Gaza depuis plus de 9 mois.


Le vrai problème, c’est le Hamas. Point final.

Israël mène une guerre juste : pour protéger ses civils, pour libérer ses enfants captifs, pour neutraliser une organisation qui a massacré plus de 1 200 personnes le 7 octobre dernier. Ceux qui veulent « arrêter l’hémorragie » n’ont qu’à exiger de Doha, Téhéran et Gaza même que le Hamas dépose les armes.

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Conclusion : le deux poids, deux mesures ne passe plus

La France, patrie de Voltaire et des droits de l’homme, semble avoir oublié l’essentiel : le droit à l’autodéfense. Dans un monde où les démocraties sont attaquées de toutes parts, il est regrettable de voir une telle puissance morale utiliser son influence pour blanchir les crimes d’un mouvement islamiste armé.

Au lieu de faire pression sur Jérusalem, Paris ferait mieux de s’attaquer aux racines de la guerre : le fanatisme, l’endoctrinement et la haine des Juifs qui imprègnent chaque ruelle de Gaza contrôlée par le Hamas.

 

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