Pendant que des bébés et des familles entières dormaient ce matin de Simha Thora, l’organisation de machine à tuer s’est mise en place avec l’aide des journalistes qui avant même ce massacre etaient aux commandes lors de cette matinée de fête dans tout Israel. C’est une grande trahison des journalistes, prets ce 7 octobre à enregistrer le massacre de 1400 israéliens.

Quelle honte pour la profession, quelle honte pour l’humanité. Tous les médias dans lesquels nous avons grandi emploient des terroristes nazis.

L’un d’eux se nomme Hassan Eslaiah. Au cours du mois de février de cette année, à travers sa populaire chaîne Telegram (près de 600 000 abonnés maintenant), Eslaiah a publié une série de vidéos d’incitation particulièrement dures appelant à des attaques par balles contre les Israéliens et expliquant comment elles devraient être menées de la manière « la plus efficace » de manière à maximiser les pertes et à réussir à fuir.

Ce sont les captures d’écran de ces vidéos de démonstration, qui ont apparemment été prises dans la bande de Gaza.

Que faisaient-ils là si tôt un samedi matin ? Est-ce compatible avec le Hamas ? Quatre noms apparaissent sur les photos AP de la zone frontalière du 7 octobre : Hassan Aslayah, Yusef Masoud, Ali Mahmoud et Hatem Ali.

Le nom le plus en vogue parmi les quatre est celui du journaliste gazaoui Hassan Aslayah, dont les services ont été utilisés le 7 octobre par AP et CNN.

Sur l’une des photos qu’Aslaya a téléchargées sur son compte Twitter, on le voit photographié avec une chaleur excessive avec le leader du Hamas et l’auteur du massacre du 7 octobre, Yahya Sinwar.

Asalaya a été enregistré en Israël après avoir franchi la clôture et photographié un char israélien en feu après que des soldats y aient été kidnappés. Après cela, il a photographié les citoyens de Gaza qui entraient dans le kibboutz Kfar Aza.

C’est le photographe Ali Mahmoud, qui travaille également pour le New York Times, qui a photographié l’enlèvement de l’Israélien Shani Louk dans la bande de Gaza.

Après l’enquête de Honest Reporting, la chaîne CNN a décidé de suspendre ses relations avec le journaliste Hassan Aslayah : « À ce stade, nous n’avons trouvé aucune raison de douter du travail journalistique qu’Hassan Aslayah a fait pour nous, mais nous avons décidé de suspendre tout lien avec lui.  »