La journaliste palestinienne Laila Odeh licenciée de la chaßne française « France 24 » en raison de ses positions pro-palestiniennes

La journaliste palestinienne Laila Odeh a Ă©tĂ© licenciĂ©e de son travail Ă  la chaĂźne de tĂ©lĂ©vision d’information internationale française « France 24 » en raison de ses positions pro-palestiniennes, ont rapportĂ© des sources mĂ©diatiques.

Comme CAMERA Arabic l’a frĂ©quemment  documentĂ© , la correspondante chevronnĂ©e de France24 à JĂ©rusalem  , Laila Odeh, qui couvre les affaires israĂ©liennes et palestiniennes, a longtemps permis Ă  ses sentiments anti-israĂ©liens d’imprĂ©gner sa couverture, ne respectant pas les normes journalistiques de base d’objectivitĂ© et de prĂ©cision.

Soeur endeuillĂ©e et  fiĂšre  d’un terroriste du Fatah tuĂ© lors d’un affrontement avec des soldats de Tsahal prĂšs de la ville israĂ©lienne de Beit She’an en juin 1970 alors qu’elle n’était qu’une bambine, Odeh exprime encore plus ouvertement son antipathie sur les rĂ©seaux sociaux.

Ainsi, elle glorifie constamment les « martyrs » qui ciblent et tuent des civils, et qualifie la mort des terroristes de « martyre ». Elle a appliquĂ© cette dĂ©signation Ă©logieuse à Muhammad ‘Asi , affilié  au Hamas et  au JIP , qui a posĂ© une bombe sur un bus de Tel Aviv en novembre 2012, blessant 28 civils (il « est montĂ© au plus haut des cieux », s’est-elle Ă©merveillĂ©e) ; à  Ashraf Na’alwa , qui, en octobre 2018,  a tué  deux civils israĂ©liens dans la zone industrielle de Barkan en Cisjordanie ; à  Saleh Omar Barghouti , affilié  au Hamas , qui, en dĂ©cembre 2018,  a tirĂ© sur  une femme enceinte, tuant son bĂ©bĂ© ; à  Omar Abou LeĂŻla, qui en mars 2019,  a tiré  sur des civils prĂšs d’Ariel, tuant un civil et un militaire ; à  Sami Abu Diak , qui a assassiné  le civil Ilya Krivitch, 61 ans, en juin 2001 ; à Fadi Abu Shkhaydam , affiliĂ© au Hamas  , qui  a assassiné  le civil Eli Kay Ă  JĂ©rusalem en novembre 2021 ; et à  Ra’d Hazem , affiliĂ© à  la Brigade des martyrs d’Al Aqsa , qui  a assassiné  trois civils Ă  Tel Aviv en avril 2022.

Elle a Ă©galement fait l’éloge du terroriste Muhammad Tareq Yous , qui a poignardĂ© Ă  mort  Yotam Ovadia , 31 ans, pĂšre de deux enfants : « Mort d’un des colons lors de l’opĂ©ration Ă  l’arme blanche dans la colonie d’Adam, menĂ©e par un Palestinien qui a Ă©té martyrisé  aprĂšs avoir Ă©tĂ© tuĂ© . tir. » (Soulignement ajoutĂ©.)

Dans d’autres publications sur les rĂ©seaux sociaux, Odeh a Ă©galement  montré son incapacitĂ© totale Ă  fonctionner en tant qu’observateur bien informĂ© et Ă©quilibrĂ© du conflit.

Sans filtre, la transparente Odeh a librement partagĂ© : « Parce que je suis une rĂ©fugiĂ© palestiniene, je demande Ă  la Ligue arabe de m’armer pour que je rĂ©cupĂšre ma terre qu’IsraĂ«l a illĂ©galement occupĂ©e. Et parce que je suis la sƓur d’un martyr, je demande Ă  la Ligue arabe de m’armer pour que je rĂ©cupĂšre le corps de mon frĂšre martyr.

Israël, a-t-elle dit, « déverse le complexe de son Holocauste sur les Palestiniens, il méprise Hitler tout en étant devenu une version de lui ».

Dans un Ă©ditorial sur les tirs de roquettes du Hamas et du Jihad islamique palestinien sur IsraĂ«l suivis des frappes aĂ©riennes de reprĂ©sailles israĂ©liennes, Odeh a fait la diffĂ©rence entre le « martyre de sept Palestiniens Ă  Gaza » et la « mort d’un colon israĂ©lien Ă  Ashkelon », faisant rĂ©fĂ©rence Ă  Moshe Agadi, 58 ans, de Ashkelon, pĂšre de quatre enfants.

Odeh a marquĂ© le 102 anniversaire de la dĂ©claration Balfour avec une longue diatribe claquant « l’établissement d’un foyer national pour [les Juifs] en Palestine, un euphĂ©misme pour l’occupation », et la non-excuse de longue date de la Grande-Bretagne pour la souverainetĂ© juive : « À ce jour, le Royaume-Uni ne se sent pas coupable et n’a pas assumĂ© la responsabilitĂ© de la dĂ©claration Balfour
 Le rejet palestinien a maintenu son chemin et la promesse britannique a maintenu sa persistance sans rĂ©tractation ni mĂȘme excuse.

Dans sa longue diatribe contre-historique, elle accuse l’Holocauste d’ĂȘtre Ă  l’origine de la dĂ©claration de Balfour malgrĂ© le fait que la promesse britannique de 1917 a prĂ©cĂ©dĂ© de quelques dĂ©cennies le massacre des Juifs d’Europe pendant la Seconde Guerre mondiale : « Le Royaume-Uni ne s’excusera jamais Ă  cause de [la fait que] le Juif pour qui Balfour avait ressenti de la peine Ă  cause de l’Holocauste n’est pas le Juif qui a colonisĂ© les terres de la Palestine historique du nord au sud, sans personne assez fort pour le faire sortir.


RĂ©daction francophone Infos Israel News pour l’actualitĂ© israĂ©lienne
© 2025 – Tous droits rĂ©servĂ©s