La rĂ©volution halakhique dans le monde du don d’organes ?

Un article halakhique rĂ©digĂ© par un Ă©lĂšve de la Yeshiva Meir Harel Ă  Modi’in traite de la question de la rĂ©alisation d’actions qui permettront le don d’organes mĂȘme en cas de victimes dĂ©cĂ©dĂ©es.

Gilad Admon, Ă©lĂšve de cinquiĂšme annĂ©e Ă  la yechiva Meir Harel de Modiin a dĂ©cidĂ© d’écrire un article sur la Torah explorant de maniĂšre approfondie le sujet de la transplantation d’organes dans la newsletter de la yeshiva ‘Mod’in Torah’.

Gilad est un « mĂ©decin chevronné » de la MDA et fait rĂ©guliĂšrement du bĂ©nĂ©volat pendant de nombreuses annĂ©es chaque semaine, et il est toujours prĂ©sent en cas d’urgence, raison pour laquelle il a dĂ©cidĂ© d’enquĂȘter sur la question de la « transplantation d’organes selon la Halacha ».

Initialement, il cherchait Ă  examiner la position des dirigeants halakhique qui, dans les annĂ©es 1970, interdisaient les dons d’organes, puis, Ă  mesure que le monde mĂ©dical progressait dans le domaine de la transplantation d’organes et selon la stipulation de la mort selon la Halacha, de nombreuses dĂ©cennies plus tard, les rabbins jugeaient qu’il Ă©tait du commandement de sauver la vie des patients en danger si seul un don d’organes les sauvera. D’autre part, il a examinĂ© le besoin et les lacunes pour des centaines d’organes de transplantation qui sont nĂ©cessaires et les greffes potentielles qui risquent de ne pas survivre si le don n’arrive pas Ă  temps.

Au cours de l’étude halachique, on lui a demandĂ© pourquoi nous ne faisons pas actuellement ce qui est nĂ©cessaire pour permettre la transplantation d’organes de personnes blessĂ©es dont la mort est dĂ©terminĂ©e sur le terrain, et si d’autres sources potentielles de transplantation d’organes ne peuvent bien entendu pas ĂȘtre Ă©puisĂ©es, Ă©tant entendu qu’il s’agit lĂ  d’un commandement.

Lorsqu’il s’agit d’un donneur potentiel en phase terminale Ă  l’hĂŽpital, il entrera dans la procĂ©dure d’un candidat au don d’organe (aprĂšs avoir Ă©tĂ© testĂ© et avec l’accord de sa famille).  Ainsi, ses organes pourraient servir Ă  une greffe potentielle.

Pourquoi, a-t-il demandĂ©, ne procĂ©derions-nous pas aux massages et Ă  d’autres organes pour prĂ©server ses organes et l’emmener Ă  l’hĂŽpital le plus rapidement possible et effectuer la procĂ©dure pour un organe du donneur ? Cela augmentera considĂ©rablement le potentiel de transplantation d’organes.

Admon a enquĂȘtĂ© et constatĂ© que cette possibilitĂ© n’avait pas encore Ă©tĂ© suffisamment explorĂ©e par les autoritĂ©s mĂ©dicales israĂ©liennes.

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RĂ©daction francophone Infos Israel News pour l’actualitĂ© israĂ©lienne
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