L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a rapporté que 12161 personnes sont mortes du COVID-19 ce dernier jour du monde. Il s’agit du taux de mortalité le plus élevé depuis la mi-avril, lorsque le nombre de victimes de la pandémie est passé à 12 482.

La troisième vague de la pandémie approche les taux d’incidence les plus élevés : au cours des dernières 24 heures dans le monde, le coronavirus a été détecté chez plus de 628000 personnes, et le taux de pointe pour l’ensemble de la pandémie, qui est tombé le 14 novembre, était d’environ 628000.

Près de la moitié des cas diurnes de la maladie surviennent en Amérique du Nord et du Sud (46%, 293 300). Viennent ensuite l’Europe (234,6 mille) et l’Asie du Sud-Est (50 mille).

Aux États-Unis, environ 225000 personnes infectées par le COVID ont été découvertes par jour et plus de 2000 personnes sont mortes – c’est la même chose que lors de la première vague du printemps. On pense que c’est le résultat de la célébration de Thanksgiving à la fin du mois de novembre.

Le nombre total de malades et de malades aux États-Unis a dépassé 14 millions et 278 000 personnes sont mortes. Le maire de San Francisco Londres Brit n’a pas attendu la décision du gouverneur de Californie et a annoncé un lock-out dans la ville.

En France, le dernier jour, 11 200 nouveaux cas ont été enregistrés. L’incidence dans le pays est à ce niveau depuis une semaine. Le Figaro rapporte que la part des tests positifs est passée à 10,7% (en Israël elle était de 2,3% hier). 283 personnes sont mortes dans les hôpitaux.

En Allemagne, la situation est un peu pire : 23 500 nouvelles infections y ont été détectées par jour. À ce niveau, l’incidence en Allemagne se maintient depuis la mi-novembre avec des baisses à 14-16 mille le week-end. Pire encore, le graphique de la mortalité ne cesse de grimper : ces derniers jours, de 430 à près de 500 décès par jour. Dans la vague de printemps, le pic de mortalité il y avait 333 personnes.

En Italie, il y en a eu plus de 24 000 nouveaux hier, après avoir culminé à 30 à 40 000 à la mi-novembre. Le taux de mortalité approchait et même certains jours dépassait les indicateurs catastrophiques du printemps. Le 3 décembre, 993 patients COVID y sont décédés, avec un pic de 921 en mars. Hier, il était de 814.

En Autriche, à laquelle Israël se compare depuis le début de la pandémie (la population est à peu près la même), le nombre de nouveaux patients oscille entre 3 et 4 mille. Ils ont réussi à faire baisser les indicateurs de pointe de mi-novembre, qui ont atteint 9,5 mille. La mortalité en Autriche est tout simplement hors du commun : ces derniers jours, elle était 4 fois plus élevée qu’en mars – 120-140 par jour contre 30 début avril. En Israël, on parle de 4 à 7 par jour – 14 décès du 1er au 4 décembre.

Dans le contexte du virus endémique en Europe, Israël, avec ses 1434 nouveaux patients hier et 2,3% positifs, ne semble pas si mal.