Le Vatican a annoncé, il y a peu de temps (mercredi), qu’il reconnaît officiellement l’Etat de Palestine. C’est un tsunami politique qui se met en place
et qui peut entraîner une position similaire dans le monde et accentué une augmentation des réactions contre la politique israélienne à l’égard des Palestiniens.
 
Ce n’est pas réellement uns surprise, car la position du Pape dernièrement en Israël était claire, et ses choix de visite furent assez précis.Le Pape avait décidé de rencontrer Netanyahou coté palestinien, et il avait visité l’un des « murs de séparation », pour envoyer un message clair à Israël. 
 
« Abattre les murs de l’inimitié »
« Le monde, a-t-il plaidé, est un héritage que nous avons reçu de nos ancêtres, mais c’est aussi un don à nos enfants : des enfants qui sont fatigués et épuisés par les conflits et désireux de parvenir à l’aube de la paix, des fils qui nous demandent d’abattre les murs de l’inimitié et d’emprunter la voie du dialogue et de la paix », a-t-il dit. Déjà en 1943, le Vatican s’opposait à un foyer juif en « Palestine ».

22 Juin 1943 : La lettre suivante, a été écrite par le délégué apostolique à Washington, le Mgr AG Cicognani, au Président Roosevelt au Vatican, l’ambassadeur Myron Taylor, il explique que la volonté du pape d’aider 4000 enfants slovaques et de les amener à la Palestine ne doit pas être interprété comme un soutien à la création d’un État juif.

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