Ce qui se passe aujourd’hui dans la bande de Gaza n’est plus une guerre entre Israël et le Hamas. C’est un effondrement total du tissu interne de la société palestinienne, livré à l’anarchie, aux règlements de comptes et aux luttes de pouvoir sanglantes. Alors que Tsahal poursuit ses opérations ciblées contre les infrastructures terroristes, une réalité nouvelle émerge : le Hamas ne contrôle plus rien — et certains Palestiniens commencent à se retourner contre lui.
Mais qu’on ne s’y trompe pas : le chaos actuel est aussi la conséquence directe d’un soutien massif de la population au terrorisme. Le 7 octobre, des milliers de Gazaouis ont franchi la barrière, armés de couteaux, de bâtons, ou simplement de leur haine. Ils ont participé à des pillages, des meurtres, des humiliations. Aujourd’hui, ils vivent les retombées de ce choix tragique.
Le Hamas ne règne plus à Gaza : l’explosion d’une guerre des gangs
Selon plusieurs sources concordantes, le Hamas a perdu le contrôle du nord de la bande de Gaza. Non seulement ses forces sont épuisées par les frappes israéliennes, mais elles sont désormais la cible d’autres milices palestiniennes rivales.
L’un des épisodes les plus violents a eu lieu il y a quelques jours à Beit Lahia, au nord de Gaza. Une milice armée, affiliée selon certaines sources au Jihad islamique, a attaqué une unité du Hamas stationnée près d’un dépôt d’armes.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Résultat : plus de 25 terroristes du Hamas tués dans une fusillade brutale, qui a duré plusieurs heures et terrorisé les rares civils restés dans les environs. Des armes, des véhicules et des équipements ont été saisis par la faction rivale, dans ce qui semble être une lutte ouverte pour le pouvoir territorial et logistique.
Ce type d’affrontement devient de plus en plus fréquent. Des anciens du Hamas sont exécutés, des chefs locaux trahis, des ressources détournées. Le chaos n’est plus seulement civil : c’est une guerre intestine entre factions armées, chacune cherchant à prendre le dessus dans le vide laissé par un pouvoir en ruine.
Un peuple complice, maintenant abandonné
Il faut le dire clairement : le mythe du peuple de Gaza opprimé et innocent ne résiste plus aux faits. Le 7 octobre a révélé la participation active de nombreux civils aux massacres en territoire israélien. Certains ont filmé, d’autres ont applaudi, d’autres encore ont caché les otages.
Cette complicité collective n’est pas marginale. Elle est enracinée dans une culture de glorification du martyre, d’enseignement de la haine dès le plus jeune âge, et de propagande continue. Les enfants de Gaza ne jouent pas à la marelle : ils simulent l’attaque de colonies “sionistes”.
Et aujourd’hui, ceux qui pensaient que le Hamas allait les mener à la victoire découvrent une autre réalité : celle du pillage, de la faim, de l’abandon. Non pas à cause d’Israël, mais parce que leur “libérateur” s’est enfui sous terre, laissant le champ libre aux mafias locales.
Pendant que les Gazaouis peinent à trouver du pain, les miliciens du Hamas et d’autres groupes contrôlent l’aide humanitaire avec une poigne de fer. Des sacs de riz fournis par l’ONU sont vendus à prix fort sur le marché noir. Les médicaments sont réservés aux chefs de clan, les générateurs électriques protégés par des milices armées.
Les camions qui entrent par Rafah ou Kerem Shalom sont redirigés, taxés illégalement, voire détournés. Dans certains quartiers, les familles doivent payer en espèces ou en bijoux pour obtenir un simple colis de secours.
C’est cela, la “résistance” du Hamas : voler son propre peuple après l’avoir utilisé comme bouclier humain.
La terreur intérieure : la loi du plus armé
Sans État fonctionnel, sans police crédible, le pouvoir est désormais aux mains de ceux qui ont une Kalachnikov. Des enfants sont enrôlés de force. Des opposants au Hamas ou à d’autres groupes sont exécutés sommairement. Des femmes sont fouettées en public pour avoir refusé de se couvrir le visage.
La charia est imposée de manière anarchique par des groupes concurrents, chacun prétendant “appliquer la volonté d’Allah”. Mais derrière les slogans religieux, ce sont les intérêts matériels, les routes d’approvisionnement, les stocks d’armes qui sont en jeu.
Le Hamas, acculé, tente de négocier avec certains chefs de milices – mais sans résultat. Son aura est brisée. Son autorité, contestée. Et le peuple de Gaza, celui qui l’a porté au pouvoir en 2006, ne sait plus à qui obéir.
Israël observe, mais n’intervient pas
Tsahal, de son côté, poursuit ses opérations avec précision : élimination de cadres terroristes, destruction de tunnels, saisie d’armes. Mais elle évite volontairement d’intervenir dans les luttes intestines palestiniennes.
Un haut responsable de la sécurité israélienne confie :
« Nous n’avons pas à choisir entre le Hamas et le Jihad islamique. Qu’ils s’éliminent entre eux. »
C’est une stratégie de long terme : affaiblir durablement l’écosystème terroriste de Gaza, sans s’enliser dans une gestion civile directe. Israël n’a aucun intérêt à reprendre le contrôle de l’enclave. Son seul objectif : protéger ses citoyens et empêcher la reconstitution d’une force militaire hostile.
Une leçon d’histoire en direct
Le chaos actuel à Gaza est une leçon historique que certains refusaient de voir : lorsqu’un peuple choisit la haine et la guerre comme fondement politique, il finit par être dévoré par ses propres monstres.
Gaza aurait pu être une Singapour méditerranéenne. Elle est devenue un cimetière d’espoirs, non pas à cause du blocus israélien, mais parce que ce territoire a choisi de consacrer ses ressources à la terreur plutôt qu’à la paix.
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